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Hamilton : N'oublions pas les Red Bull !

Malgré un début de saison difficile pour Red Bull Racing, Lewis Hamilton s'attend à ce que les bolides au taureau représentent des adversaires majeurs dans la course à la victoire.

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W10

Photo de: Sam Bloxham / Motorsport Images

Jusqu'à présent, ce début de saison 2019 a été plutôt difficile pour les hommes de Christian Horner. Pour ces deux premières courses de Red Bull avec les groupes propulseurs HondaMax Verstappen est parvenu à tirer son épingle du jeu avec les troisième et quatrième places, mais n'a jamais été en lice pour la victoire. Pierre Gasly, de son côté, n'a marqué que quatre points, handicapé par des qualifications peu réussies.

Les deux dernières campagnes en date ont été un duel entre Lewis Hamilton et Sebastian Vettel pour le titre mondial, mais Charles Leclerc a déjà prouvé qu'il fallait compter avec lui en dominant le Grand Prix de Bahreïn, et le Monégasque n'est pas le seul à vouloir bousculer la hiérarchie établie.

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"Actuellement, il est clair qu'il n'y a pas que Sebastian et moi, et je doute que ça change bientôt", commente Hamilton. "Là, nous sommes au moins quatre, et on ne peut certainement pas écarter les Red Bull. Leur début de saison a été plus compliqué, mais si l'on regarde l'an dernier, ils ont gagné ici [en Chine]. Je m'attends à ce que ça puisse être similaire."

"Ils sont vraiment performants en ligne droite ; d'habitude, ils ont une très bonne voiture et un moteur pas si bon, mais cette année, c'est l'inverse. Cela dit, ils font partie des écuries qui peuvent se développer à un rythme similaire à celui de Ferrari et au nôtre, donc c'est bien trop tôt pour se prononcer."

Inquiétude face à la puissance du moteur Ferrari

Sebastian Vettel, Ferrari SF90, à la lutte avec Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W10

Après un Grand Prix d'Australie où Mercedes était au-dessus du lot, c'est Ferrari qui a très largement pris l'avantage à Bahreïn, notamment grâce à une unité de puissance qui paraît plus performante que celle de la concurrence. Ce facteur est source d'inquiétude pour Hamilton à l'aube du Grand Prix de Chine, notamment en raison de la ligne droite de 1,2 kilomètre menant à l'avant-dernier virage du circuit de Shanghai – l'une des plus longues de la saison.

"Ferrari pourrait avoir une évolution ici et être encore plus rapide", souligne le Britannique. "Il y a cette longue ligne droite qui pourrait grandement les avantager. Je ne sais pas trop. J'espère que nous ne devrons pas compter sur la fiabilité [référence à la panne de Leclerc à Bahreïn, ndlr] et que la course sera bien plus serrée. À Bahreïn, les qualifications étaient correctes, mais il y avait un grand écart en course."

Lorsqu'il lui est demandé si un déficit lié au moteur est plus dur à rattraper que sur le châssis, Hamilton répond : "Je pense, oui. Côté moteur, c'est très, très dur d'obtenir de gros gains sans prendre de risques, surtout avec la réglementation que nous avons actuellement, avec peu de moteurs et de turbos. Ces progrès sont plus durs à faire. Réduire cet écart de vitesse de pointe, ce n'est pas quelque chose qui se fera particulièrement vite."

Pas d'avantage psychologique sur Vettel

La dernière course en date, à Bahreïn, a notamment été marquée par le tête-à-queue commis par Sebastian Vettel au moment précis où il se faisait dépasser par Lewis Hamilton pour la deuxième place. Le quadruple Champion du monde était déjà parti à la faute à plusieurs reprises lors d'instants cruciaux de la course au titre ces deux dernières saisons. Peut-on dire que l'Anglais a désormais un avantage psychologique sur son rival ?

"Je ne suis pas d'accord, je n'aborde pas la bataille avec lui avec le sentiment d'avoir l'avantage", répond l'intéressé. "Je prends du plaisir à me battre roue contre roue face à tous les pilotes, quels qu'ils soient. J'ai la même mentalité et la même approche, peu importe de quel pilote il s'agit. Ce n'est probablement pas une bonne question pour moi, c'est sûrement à lui qu'il faut la poser !"

Propos recueillis par Adam Cooper

Le poleman Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 et Sebastian Vettel, Ferrari dans le Parc Fermé
 

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