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Peugeot plus impressionné par Elena que par Loeb

Bruno Famin, le directeur de Peugeot Sport, a expliqué que c'était le travail de Daniel Elena, davantage que les performances de Sébastien Loeb, qui l'impressionnait le plus depuis le départ du Dakar.

#309 Peugeot Sport Peugeot 3008 DKR: Sébastien Loeb, Daniel Elena

#309 Peugeot Sport Peugeot 3008 DKR: Sébastien Loeb, Daniel Elena

Red Bull Content Pool

Sébastien Loeb, Team Peugeot Hansen and Daniel Elena
#309 Peugeot Sport Peugeot 3008 DKR: Sébastien Loeb, Daniel Elena
#314 Peugeot : Sébastien Loeb avec Bruno Famin, directeur de Peugeot Sport
Cyril Despres, Sébastien Loeb, Daniel Elena, Peugeot Sport
Nani Roma, Overdrive Racing Toyota et Daniel Elena, Peugeot Sport
#309 Peugeot Sport Peugeot 3008 DKR: Sébastien Loeb, Daniel Elena
#309 Peugeot Sport Peugeot 3008 DKR: Sébastien Loeb, Daniel Elena
#309 Peugeot Sport Peugeot 3008 DKR: Sébastien Loeb, Daniel Elena
Bruno Famin, patron de Peugeot Sport, avec Sébastien Loeb
#309 Peugeot Sport Peugeot 3008 DKR: Sébastien Loeb, Daniel Elena

L'an passé, pour leur première participation au Dakar au volant d'un Peugeot 2008 DKR, les deux hommes s'étaient rapidement hissés en tête du classement général au bout de quelques jours après plusieurs victoires de spéciales. Mais une deuxième semaine plus compliquée, marquée par quelques erreurs de pilotage et de navigation, avaient relégué l'incontournable duo au neuvième rang final à l'arrivée.

Cette année, pour leur deuxième tentative – cette fois sur le 3008 DKR –, Loeb et Elena se sont une nouvelle fois portés rapidement aux avant-postes. Mais les deux compères ont su éviter les pièges du parcours, malgré un exercice de navigation rendu plus ardu cette année par la direction de course, pour occuper la première place du classement général alors que trois étapes seulement restent à disputer.

Pour Bruno Famin, le directeur de Peugeot Sport, c'est surtout le travail de navigation de Daniel Elena qui constitue l'exploit de ce rallye, malgré le manque d'expérience du Monégasque en rallye-raid.

"Celui qui m'impressionne le plus, ce n'est pas Seb, c'est Daniel", a expliqué Famin mercredi à Motorsport.com. "C'est assez bizarre de dire ça, mais personne ne peut plus être impressionné à ce stade de sa carrière par la pointe de vitesse de Sébastien Loeb."

"Il est, certes, impressionnant de voir que [Loeb] a pu gérer son rythme, ce qui constituait une difficulté lors de sa première année. Il n'a pas fait d'erreur, et c'est un bon, très bon point. Il a pu adapter sa cadence."

"Mais celui qui m'impressionne le plus, c'est Daniel. D'accord, il a commis quelques petites erreurs, mais pas plus que des navigateurs expérimentés. Jusqu'ici, il a fait un super boulot."

"Perdre vingt minutes est très facile"

Par ailleurs, Famin insiste sur le fait que, même si trois Peugeot 3008 DKR pointent pour l'heure au premier rang du classement (Loeb devant Peterhansel et Despres), aucun relâchement n'est permis, surtout au vu des problèmes ayant affecté les Toyota en début de rallye, avec l'accident de Nasser Al-Attiyah, et les divers déboires (techniques et de navigation) de Giniel De Villiers, sans oublier le problème électrique ayant coûté des minutes précieuses à Nani Roma la première semaine.

Si Roma, premier pilote "non-Peugeot", pointe au quatrième rang à une distance respectable de 24 minutes, Famin estime que l'écart n'est pas assez important pour pouvoir relâcher la pression lors des dernières étapes.

"Ce n'est pas confortable, car les organisateurs ont dit que les deux étapes suivantes seront difficiles également, avec des difficultés de navigation", poursuit Bruno Famin. "Bien sûr, nous disposons d'une marge face à Nani, mais pas si importante que cela. Perdre 20 minutes est très facile, vous vous perdez, vous restez bloqué, vous avez deux crevaisons, et voilà."

"On ne peut jamais savoir. Regardez l'étape pour Toyota, avec la sortie de Nasser, le problème d'essence de De Villiers, c'était compliqué pour toutes les voitures. Et on ne sait pas, si c'est arrivé à Toyota, ça peut arriver à n'importe qui. Et nous devons être très prudents."

Propos recueillis par Valentin Khorounzhiy 

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