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Sam Sunderland - "C'était dur, physiquement dur"

Relégué à près de cinq minutes de Ricky Brabec, vainqueur de l’étape hier, le pilote britannique peut s’estimer heureux d’être toujours en tête du général compte tenu des conditions.

#14 Red Bull KTM Factory Racing: Sam Sunderland

KTM

#14 Red Bull KTM Factory Racing: Sam Sunderland
#14 Red Bull KTM Factory Racing: Sam Sunderland
#14 Red Bull KTM Factory Racing: Sam Sunderland
#14 Red Bull KTM Factory Team: Sam Sunderland
#14 Red Bull KTM Factory Racing: Sam Sunderland
#14 Red Bull KTM Factory Racing: Sam Sunderland

Chat échaudé craint l’eau froide dit le dicton populaire. C’est d’autant plus vrai quand on s’appelle Sam Sunderland et qu’on doit traverser des contrées inhospitalières, telle la Bolivie ces derniers jours et ses précipitations à n’en plus finir !

Le pilote KTM, en tête du général depuis sa victoire d’étape vendredi entre Tupiza et Oruro, a qui plus est de bonnes raisons de rester sur ses gardes compte tenu de son passif sur le Dakar. Jugez plutôt : trois participations (2012, 2014 et 2015), pour autant d’abandons. De quoi refroidir les ardeurs des plus téméraires.

Mais l’Anglais a de la ressource, même s’il n’est que peu rompu à l’exercice qui incombe au leader du général : ouvrir la route de la prochaine étape. Troisième de l’étape hier, à 4’43’’ de l’Américain Ricky Brabec (Honda), Sunderland pouvait se réjouir d’avoir vu le bout d’une étape regorgeant de dunes et autres pièges. "C’était vraiment difficile ce matin, plus que ce à quoi je m’attendais", a confié le leader du classement au micro de France TV, "Les premiers 74 kilomètres ça roulait, mais ça collait et c’était dur, physiquement dur. En plus, avec l’herbe à chameau et la navigation difficile, on ne pouvait pas voir la piste. Ce fut une journée très épuisante."

En difficulté en début de parcours suite à des problèmes de navigation, Sunderland a du rouler au ralenti pour se sortir des étendues de dunes et retrouver son chemin. Après une seconde partie de course mieux maîtrisée, le Britannique est donc parvenu à empocher la troisième place de la spéciale, devant ses deux principaux rivaux au général : Pablo Quintanilla (Husqvarna), pointant désormais à 17’45’', et le Français Adrien Van Beveren (Yamaha), à 22’16’’.

Mais avec une nouvelle étape remaniée en vue aujourd’hui, nul doute que Sunderland ne baissera pas sa garde pour éviter une nouvelle déconvenue sur le Dakar.

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