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Interview

Spengler - "Le poids ne fera pas tout à Moscou"

Même s’il s’apprête à être au volant de l’une des voitures les plus légères du plateau ce week-end à Moscou, Bruno Spengler doute cela soit suffisant aux BMW pour figurer aux avant-postes, comme il l'a confié à Motorsport.com.

Bruno Spengler, BMW Team MTEK BMW M4 DTM

Photo de: XPB Images

Bruno Spengler, BMW Team MTEK BMW M4 DTM
Timo Glock and Bruno Spengler, BMW Team MTEK BMW M4 DTM
 Bruno Spengler, BMW Team MTEK BMW M4 DTM
Bruno Spengler, BMW Team MTEK BMW M4 DTM
Bruno Spengler, BMW Team MTEK BMW M4 DTM
La Grid Girl de Bruno Spengler, BMW Team MTEK BMW M4 DTM

La saison de Bruno Spengler est à l’image de celle de l’ensemble du clan BMW : faite de hauts et de bas. De bas comme à Hockenheim, au Lausitzring, et surtout récemment à Spielberg, avec des week-ends très compliqués pour des BMW M4 DTM loin du compte. Des hauts comme au Norisring, puis surtout à Zandvoort, où les voitures de la marque à l’hélice se sont brillamment illustrées, Spengler lui-même décrochant à chaque fois une belle 3e place.

Mais des performances à relativiser car, au Norisring, et plus encore à Zandvoort, les BMW ont bénéficié d’un avantage de poids, face aux Mercedes et surtout face aux Audi fortement lestées en raison de leurs succès du début de saison. Le cas de figure se répètera justement à Moscou ce week-end où, après un week-end calamiteux à Spielberg, les BMW seront les voitures les plus légères au départ, cinq d’entre elles (dont celle de Bruno Spengler) affichant même 32,5 kg de moins que l’Audi RS 5 du leader du championnat Mattias Ekström, et 22,5 kg de moins que la plus lourde des Mercedes (Pascal Wehrlein).

"C’est vrai que l’on embarquera moins de poids que la concurrence ce week-end, cela va forcément aider, mais est-ce que ce sera suffisant, cela reste à voir", a expliqué le pilote canadien à Motorsport.com.

"Quoiqu’il arrive, il ne faudra pas se focaliser sur le poids de nos voitures par rapport à la concurrence", poursuit Spengler. "Il faudra plutôt continuer à se focaliser sur le travail de mise au point sur la voiture dès les essais libres du vendredi. Après, nous verrons comment l’on se situe".

On a vu que les circuits qui nous ont réussi l’an passé ne nous sourient pas forcément cette saison, et l’inverse est aussi vrai.

Bruno Spengler.

Bruno Spengler n’oublie pas qu’il avait signé une belle deuxième place l’an passé à Moscou (derrière son équipier Maxime Martin), qui constituait au final son meilleur résultat de 2014. Un signe positif ? "C’est vrai que nous étions performants à Moscou l’an passé. Moscou est un très beau circuit, un tracé que j’aime bien. Mais il ne faut pas se fier à la performance de 2014, on a vu que les circuits qui nous ont réussi l’an passé ne nous sourient pas forcément cette saison, et l’inverse est aussi vrai".

Le constat est amer pour BMW, dépassé en termes de performances par ses rivaux depuis le début de la saison. "Nous avons connu un début de saison difficile", conclut Spengler. "Ce que l’on avait entrevu lors des essais hivernaux, à savoir un certain avantage pour les Audi, s’est confirmé lors des premières courses. Et puis avec la quasi absence d’essai durant la saison, il est très compliqué de rattraper un retard comme le notre. Voyons à Moscou comme cela se passera pour nous". 

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