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Loeb : Au volant au Mans, on est dans un monde parallèle

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B.D., Le Mans – Entre deux week-ends de WTCC, Sébastien Loeb s’est trouvé une autre occupation. Le nonuple Champion du Monde des Rallyes est au Mans, où il suit de très près l’évolution de son écurie, le Sébastien Loeb Racing.

A 20 heures, l’Oreca-Nissan n°24 était toujours bien en course, malgré une petite excursion hors-piste de René Rast en début de deuxième heure. Elle occupait ainsi la 13e place du classement général, la 7e de sa catégorie. Au Mans, Loeb sait que son équipe est rodée et habituée à fonctionner sans lui. Il enfilera néanmoins la combinaison dans la nuit pour aller relayer le team manager Dominique Heintz sur le muret des stands.

Il retrouve en même temps une course à laquelle il a participé à deux reprises avec l’équipe de Henri Pescarolo, s’offrant même un podium en 2006 après s’être battu contre Audi. Une course qui évolue avec son temps, mais qui reste un juge de paix avec les risques qu’elle comporte.

« Quand on voit rouler les voitures, on n’a pas forcément l’impression, mais quand on voit le carton de Duval on se rend bien compte que c’est très dangereux », note l’Alsacien le temps d’une pause dans le paddock. « Quand ça tape, ça va très très vite. Il suffit aussi de voir les vitesses de dépassement. Je crois surtout que ce qui est très dangereux c’est la différence de vitesse entre les voitures ; un écart au dernier moment peut vite être dangereux. »

Le Mans, Loeb en garde un souvenir à part, des sensations qu’il n’a jamais vraiment retrouvées ailleurs. Même s’il affirme que revenir piloter lors des 24 Heures n’est absolument pas à l’ordre du jour pour les années à venir, il parle encore de cette course avec passion.

« Le fait de faire des relais en pleine nuit à bloc, ce sont des sensations uniques », se souvient-il. « Tu es seul dans ta voiture, tu es un peu dans un monde parallèle à ce moment-là. C’est assez extraordinaire et il y a des images qu’on n’oublie pas. C’est comme faire des spéciales de nuit au Monte-Carlo. »

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