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Avec McLaren et Red Bull, Renault veut "apprendre des meilleurs"

La saison prochaine, Toro Rosso adoptera les unités de puissance Honda, permettant à McLaren de rejoindre le giron de Renault. Le Losange se retrouvera ainsi en concurrence directe avec la structure de Woking, ainsi qu'avec Red Bull.

Max Verstappen, Red Bull Racing RB13, Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17

Photo de: Charles Coates / Motorsport Images

Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17, Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32, Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team  RS17
Daniil Kvyat, Scuderia Toro Rosso STR12, Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17, Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB13
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17, Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team Team RS17, Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17, Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32 en lutte pour une position
Fernando Alonso, McLaren MCL32, Sebastian Vettel, Ferrari SF70H, Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17, Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Zak Brown, directeur exécutif du McLaren Technology Group, Cyril Abiteboul, directeur général de Renault Sport F1 Team, se serrent les mains dans le paddock
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team Team RS17, Max Verstappen, Red Bull Racing RB13
Max Verstappen, Red Bull Racing RB13, Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Ce sont donc deux des écuries les plus redoutables du plateau de Formule 1 qui seront équipées de l'unité de puissance française en 2018, mais d'après Cyril Abiteboul, il n'y a que des points positifs à cette décision d'avenir pour la structure d'Enstone.

"Déjà, c'est une fierté", déclare Abiteboul pour Motorsport.com au sujet de l'accord avec McLaren. "Parce que c'est une belle marque, parce que ça ne s'est jamais fait dans les 40 ans de Renault motoriste. Après, c'est aussi un peu de pression. Pression déjà de bien les servir en tant que clients d'un moteur qui sera développé pour Renault mais qui fonctionne, qui soit fiable, qui soit si possible plus performant que leur moteur actuel – mais là-dessus, je ne m'inquiète pas trop."

"C'est aussi de ne pas trop se créer de problèmes avec Enstone, qui va être en situation de compétition, de concurrence vis-à-vis de McLaren. On a pesé longuement le pour et le contre, et on a décidé d'y aller, parce qu'on pense qu'il y a de toute façon plus à gagner à se rapprocher des meilleurs et à travailler avec eux qu'à les craindre et à s'en écarter. Il fallait aussi commencer à réfléchir au virage stratégique de notre association avec Red Bull qui, finalement, date de notre époque de motoriste."

McLaren, "pas un problème" à l'avenir

Renault reste en phase de restructuration, suivant ses objectifs initiaux de retrouver le podium en 2018 et de jouer le titre en 2020. L'écurie française est déjà la moins bien placée de celles utilisant les unités de puissance tricolores cette saison, loin derrière Red Bull et à dix points de Toro Rosso.

La comparaison directe vis-à-vis de McLaren pourrait être douloureuse, le châssis de l'écurie britannique valant probablement mieux que ses résultats actuels ne le laissent voir – même si Renault pourrait faire un pas en avant dans la hiérarchie en 2018 grâce à la stabilité nouvellement acquise au niveau des finances et du développement.

Néanmoins, face à une telle concurrence, pourquoi prendre le risque d'être de nouveau la dernière écurie motorisée par Renault au championnat l'an prochain ? "Pour pouvoir apprendre des meilleurs, pour avoir des éléments de comparaison", répond Abiteboul.

"C'est quand même vraiment intéressant de motoriser aujourd'hui Red Bull, personne ne le conteste, parce que ça nous permet vraiment de mesurer les progrès du moteur. Il nous manque encore des choses, et demain, s'il n'y a plus Red Bull, ce sera intéressant de continuer d'avoir un point de référence comme McLaren." Red Bull pourrait en effet se détourner de Renault pour poursuivre ses projets avec davantage d'indépendance.

"Les ambitions que l'on a déclarées, c'est quand même d'être un top team d'ici à 2020, et le problème ne sera pas McLaren, ce sera Mercedes, Ferrari, Red Bull. Ce sont des équipes largement plus grosses que McLaren." McLaren ne serait donc pas un obstacle quant aux ambitions de titre du Losange à long terme ? Seul l'avenir le dira.

 

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