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Abiteboul - Vasseur était "un coéquipier avec qui partager les épreuves"

Frédéric Vasseur et Renault Sport F1 Team ont mis un terme à leur association à l'aube de la saison 2017, en raison de divergences d'opinions entre le directeur d'équipe et le reste du management de l'écurie.

Cyril Abiteboul, Renault Sport F1 et Frederic Vasseur, Renault Sport F1

Photo de: XPB Images

Cyril Abiteboul, Renault Sport F1 et Frederic Vasseur, Renault Sport F1
Cyril Abiteboul, Renault Sport F1 Team et Frédéric Vasseur, directeur de la compétition Renault Sport F1 Team
Cyril Abiteboul, Renault Sport F1 et Frederic Vasseur, Renault Sport F1
Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1 lors de la conférence de presse de la FIA
Esteban Ocon, pilote d'essais Renault Sport F1 Team; Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team; Julien Simon-Chautemps, ingénieur de course Renault Sport F1 Team; et Paul Seaby, manager Renault Sport F1 Team lors de la reconnaissance du circuit
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team avec Alan Permane, directeur des opérations piste Renault Sport F1 Team et Julien Simon-Chautemps, ingénieur de course Renault Sport F1 Team sur la grille
Des mécaniciens Renault Sport F1 Team avec des pneus Pirelli
Les ingénieurs Renault Sport F1 Team
Un mécanicien Renault Sport F1 Team au travail

Cette décision officialisée le mois dernier attriste Cyril Abiteboul, directeur général de Renault Sport Racing, qui considère ce départ comme un échec.

"C'est clairement une déception personnelle et individuelle", déclare Abiteboul pour Motorsport.com. "Une partie de ce que j'ai fait pour Renault, quand nous avons décidé d'évaluer la possibilité d'un retour avec une écurie d'usine, était d'avancer une structure de management, et Fred faisait tout à fait partie de cette équation. C'est donc une vraie déception pour moi de ne pas avoir réussi à faire fonctionner cela. Puisqu'il était évident que nous n'y arrivions pas, il était mieux de prendre une décision et de passer à autre chose."

Abiteboul doute toutefois que Renault soit affaibli par ce départ, affirmant que l'écurie dispose toujours d'une structure très solide malgré la perte de son directeur.

"Nous sommes stables, nous sommes solides, et nous avons énormément d'expérience", souligne le Français. "Nous avons une structure de management révisée à Viry, nous avons une structure de management plus solide à Enstone, avec plus de capacité, avec tous les gens que nous avons recrutés et que nous allons continuer à recruter."

"Je suis déçu, et je me sens un peu seul, parce que c'était bien d'avoir un coéquipier avec qui partager les épreuves, partager les difficultés. Mais je ne suis pas seul. Jérôme [Stoll] reste très impliqué en tant que président de l'écurie, et j'ai le sentiment que l'équipe est très solide."

Année de consolidation

Fin 2015, après avoir rencontré de grandes difficultés financières, l'écurie Lotus était au bord du gouffre. C'est de cette structure que Renault a hérité. Après une phase de reconstruction en 2016, marquée par la neuvième place du championnat des constructeurs, le mot-clé de la saison à venir sera "consolidation". On note notamment le recrutement récent de Pete Machin, ancien aérodynamicien de l'équipe Red Bull.

"Je pense que 2017 sera plutôt une année de consolidation", estime Cyril Abiteboul. "À Viry, la priorité est plus la qualité que la quantité. Nous pourrions même réduire légèrement la voilure pour vraiment nous focaliser sur cette génération d'unités de puissance, tout en réfléchissant à la prochaine génération."

"Du côté du châssis, nous avons recruté une centaine de personnes, ce qui représente une augmentation de l'effectif de 20% ; c'est beaucoup ! Nous allons ralentir un peu le recrutement et nous assurer que tout le monde trouve ses repères."

"Maintenant, il s'agit de recruter les directeurs de département dont nous avons besoin, ce qui prend un peu de temps à cause de la situation contractuelle. Plus le poste est élevé, plus il faut de temps pour recruter quelqu'un. Mais il y a des gens qui vont nous rejoindre en cours de saison", conclut Abiteboul.

Propos recueillis par Jonathan Noble

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