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Affaire van der Garde : Sauber admet avoir commis des erreurs

Peter Sauber et Monisha Kaltenborn, Sauber

Photo de: XPB Images

Toto Wolff, Mercedes AMG F1 ; Monisha Kaltenborn, Sauber ; Cyril Abiteboul, Caterham F1 Team
Giedo van der Garde, Sauber
Giedo van der Garde, Sauber
Peter Sauber et Monisha Kaltenborn, Sauber

Sportivement, l’écurie Sauber a quitté Melbourne avec un large sourire, occupant une étonnante troisième place au classement du championnat constructeurs. Une conclusion en décalage total à côté de ce qu’a vécu l’équipe en interne avec l’affaire van der Garde.

Directrice de l’écurie suisse, Monisha Kaltenborn a traversé une véritable épreuve lorsque le pilote néerlandais a porté l’affaire devant les tribunaux, dont la Cour Suprême de l’Etat de Victoria à Melbourne. Sérieusement mise en cause, elle a fait face contre vents et marées, bien que soutenue solidement par Peter Sauber.

"Quand vous êtes assis devant la cour en Australie et que vous entendez le mot prison, c’est un choc", avoue Kaltenborn dans les colonnes du Sonntagsblick.

Avant qu’un accord financier ne soit finalement trouvé, la Cour Suprême avait en effet ordonné à Sauber d’aligner Giedo van der Garde au départ du Grand Prix d’Australie, sous peine de saisir le matériel ou de poursuivre personnellement la directrice de l’équipe.

Pour Kaltenborn, l’un des points qui a énormément joué en faveur de son équipe provient du manque de temps qui a affecté la FIA pour pouvoir délivrer la Superlicence à van der Garde avant le week-end australien. "S’il avait reçu la licence de la FIA, il aurait tout essayé pour piloter", assure-t-elle.

L’indemnité versée à van der Garde – et ses sponsors – afin de mettre fin aux poursuites est estimée à 15 millions d’euros, ce qui n’a pas manqué d’étonner le pilote néerlandais compte tenu des difficultés financières de sa désormais ex-équipe. "Je ne peux pas, et je ne commenterai pas cela", rétorque Kaltenborn sur le sujet, concédant avoir commis des erreurs dans la gestion du dossier ces derniers mois.

"Oui, j’ai fait des erreurs. J’étais trop confiante et j’ai été punie amèrement. Les tribunaux ne jugent pas les principes moraux. Pour eux, seuls les accords écrits s’appliquent sans prendre en compte les autres circonstances."

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