Alesi : Piloter au crépuscule n'est vraiment pas facile
Jean Alesi, ambassadeur Pirelli, n’a jamais eu l’occasion de disputer un Grand Prix à Abu Dhabi, mais a réalisé quelques tours de l’ultramoderne tracé en d’autres occasions, comme lors de tests de développement de la Lotus T125, une F1 destinée à une commercialisation « grand public »
Jean Alesi, ambassadeur Pirelli, n’a jamais eu l’occasion de disputer un Grand Prix à Abu Dhabi, mais a réalisé quelques tours de l’ultramoderne tracé en d’autres occasions, comme lors de tests de développement de la Lotus T125, une F1 destinée à une commercialisation « grand public ».
Pour le Français, le spectacle de cette piste réside précisément dans ses installations dernier cri et son horaire de tenue, lorsque le soleil se couche sur le désert.
“Abu Dhabi n’est pas une piste sur laquelle j’ai piloté en course, et c’est donc difficile de la commenter du point de vue du pilotage. Mais elle est clairement spectaculaire à voir et c’est fantastique de voir tant d’investissement en infrastructure pour la F1”, explique Alesi.
Avec les pneus Pirelli, les occasions de dépasser sont désormais plus nombreuses grâce aux stratégies décalées, mais le tracé n’est pas pour autant un modèle de facilité dans le domaine.
“La seule impression négative que j’avais initialement du circuit concernait le fait qu’il semblait assez difficile d’y dépasser parfois, mais je pense que ce problème est maintenant réglé. Il est également intéressant de voir en ce moment à quel point les pilotes utilisent la stratégie pour gagner des positions en piste”.
“Je suis sûr que les arrêts aux stands seront encore importants ce weekend, à Abu Dhabi. Cela ne semble pas être une course particulièrement dure pour les pneus, mais les circonstances sont un petit peu différentes par rapport à d’habitude – la course débutant en fin d’après-midi-. Il est donc difficile de prédire ce qui va se passer. J’ai pu avoir des expériences de pilotage au crépuscule et de nuit au Mans, et ce n’est vraiment pas facile. Mais je pense que c’est plus évident dans une F1 que dans une voiture d’endurance, car les F1 n’ont pas de phares. Les phares rendent le jugement des perspectives plus difficile, particulièrement lorsque l’on est doublé, et c’est mieux de juste avoir l’éclairage du circuit, comme à Singapour et Abu Dhabi”.
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