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Albon trouve en F1 des similitudes avec la FE

Faisant partie des quatre rookies sur la grille de départ en 2019 (si l'on compte Antonio Giovinazzi, avec deux GP à son actif), Alexander Albon est conscient d'avoir beaucoup à apprendre, mais considère son expérience en Formule E comme un atout.

Alex Albon, Scuderia Toro Rosso

Mark Sutton / Motorsport Images

Car si Alexander Albon a délaissé le contrat de trois ans qu'il avait signé avec Nissan e.dams en Formule E pour rejoindre Toro Rosso, il avait néanmoins pu tester la Gen2 pendant deux jours en essais privés, et avait également participé au Rookie Test de Marrakech en janvier 2018.

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Selon Albon, cette expérience avec la monoplace tout électrique lui permettra d'apprivoiser plus aisément les unités de puissance turbo hybrides, alors qu'il prendra le volant d'une Formule 1 pour la première fois lors des essais hivernaux de la semaine prochaine. Il n'aura donc que quatre journées de roulage avant son premier Grand Prix.

"J'ai eu la chance de faire des essais en Formule E, et j'ai alors beaucoup appris sur le groupe propulseur", commente le vice-Champion GP3 2016 et troisième de Formule 2 2018. "[Celui de la FE et celui de la F1] sont étonnamment similaires. Je ne dirais pas que la technologie est la même, mais dans la façon dont il faut économiser l'énergie par exemple, ils sont très semblables. Je pense qu'il ne sera pas trop difficile de m'adapter à ça."

"La principale différence, c'est juste la vitesse pure de la voiture. Celles-ci sont plus rapides que jamais désormais, même si elles pourraient l'être légèrement moins cette année. Mais le saut de la Formule 2 à la Formule 1 est vraiment énorme. Surtout en matière d'appui. Je pense que la vitesse ne sera pas très difficile à gérer, c'est plutôt à la largeur pure de la voiture que je vais devoir m'habituer."

"Par ailleurs, ce dont les gens ne se rendent pas compte à mon avis, c'est le nombre de personnes et l'éthique de travail requis en F1. En Formule 2, j'avais deux ingénieurs, il y avait un ingénieur en chef et j'avais deux mécaniciens au total. Cela faisait donc six ou sept personnes, et là, je rejoins une équipe qui en a quasiment 400. C'est une autre histoire, mais je m'y habitue, c'est un bon problème à avoir !"

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Quant à ses ambitions pour sa première campagne dans l'élite, Albon préfère rester extrêmement prudent. "Depuis le début de ma carrière, j'ai généralement pour approche de ne pas me fixer le moindre objectif. Chaque année, j'ai pris les courses comme elles venaient, pas à pas, et les séances aussi – que ce soit les essais libres, les qualifications ou la course. Si l'on commence à se fixer des objectifs à long terme, on se met une pression qui n'est pas nécessaire. Je me concentre sur moi-même, et on verra comment ça se passera", conclut l'Anglo-Thaïlandais.

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