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Berger - La F1 actuelle est "trop contrôlée, trop règlementée"

Pour Gerhard Berger, la Formule 1 moderne ne laisse pas assez de place à l’imprévisible et n’est pas assez juste pour permettre d'offrir aux fans suffisamment de spectacle.

Gerhard Berger dans la McLaren Honda

Photo de: XPB Images

Gerhard Berger
Gerhard Berger
Les pilotes lors de la parade des Légendes : Christian Danner,; Riccardo Patrese,; Gerhard Berger,; Niki Lauda, Président non-exécutif de Mercedes; Jean Alesi,; Nelson Piquet,; Pierluigi Martini,; Alain Prost,.
Les pilotes lors de la parade des Légendes : Christian Danner,; Riccardo Patrese,; Gerhard Berger,; Niki Lauda,; Jean Alesi,; Nelson Piquet,
Les pilotes lors de la parade des Légendes : Gerhard Berger,; Christian Danner,; Jean Alesi,; Nelson Piquet,; Riccardo Patrese,; Pierluigi Martini,; Alain Prost,
Le vainqueur Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 sur le podium avec Gerhard Berger
Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 avec le vainqueur Nico Rosberg, Mercedes AMG F1 et Gerhard Berger, sur le podium

La discipline reine est l’objet depuis plusieurs années de critiques vives concernant le spectacle qu’elle procure à son public - et notamment à ses téléspectateurs, dont le nombre total est en baisse constante. Ces critiques trouvent encore plus de poids quand une écurie domine nettement le sport, à l’image de Mercedes lors des deux dernières saisons, à qui seules six victoires et deux pole positions ont échappé sur 38 Grands Prix.

Pour Gerhard Berger, ancien pilote Benetton, McLaren ou Ferrari, la Formule 1 actuelle n’offre pas assez d’imprévisibilité pour passionner les foules, à l’inverse de ce que certains considèrent comme son âge d’or, les années 1980.

"Il y a des différences avec la série victorieuse de McLaren de mon époque", juge-t-il pour Auto Motor und Sport. "Premièrement, les fans étaient toujours divertis par le spectacle du pilotage."

"Deuxièmement, les courses étaient plus imprévisibles, parce qu’il y avait tellement de défaillances, ou parce qu’il y avait tellement d’erreurs. Qui tombe en panne d’essence de nos jours ? Le sport est actuellement si parfait que la domination affecte plus la valeur du spectacle."

"Troisièmement, les fautes étaient punies. Si vous étiez trop rapide vous terminiez dans les graviers. Aujourd’hui, c’est empêché par les immenses zones de dégagement. Vous pouvez revenir sur la piste, souvent sans perdre une place. C’est trop poli, trop contrôlé, trop beau et trop sur-règlementé."

Répartir les revenus équitablement

Berger estime, en sus, que la concentration des revenus vers les structures qui sont les plus riches et donc les plus performantes est un problème qui entrave l’homogénéité de l’ensemble du plateau.

"Pour moi, le contrôle des coûts est impératifs, et l’argent devrait être réparti équitablement. Ferrari et Mercedes veulent que les autres courent, mais ils préfèrent qu’ils ne soient pas compétitifs. A cause de cela, la discipline a besoin d’une force qui dit que tout le monde doit avoir la chance d’être compétitifs. Ça ne sert à rien de donner plus aux équipes qui gagnent toujours."

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