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Analyse

Bilan 2015 - Ericsson sans coup d'éclat

Auteur d'une saison moyenne, le pilote suédois n'a pas réussi à montrer qu'il pouvait se transcender au volant de la Sauber.

Marcus Ericsson, Sauber C34

Photo de: Pirelli

Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber C34
Pastor Maldonado, Lotus F1 E23 et Marcus Ericsson, Sauber C34 se touchent
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team lors de la parade des pilotes
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team

Contrairement à son coéquipier Felipe Nasr, Marcus Ericsson n’était pas débutant en Formule 1 cette saison. Pour autant, le Suédois a lui-même reconnu que cette première année passée chez Sauber s’apparentait quasiment à une deuxième saison dans la peau d’un rookie, tant la différence était grande entre ses premières courses disputées au volant de la Caterham en 2014 et le saut effectué en se retrouvant à bord d’une C34 en mesure d’aller jouer des Top 10. 

C’est à Melbourne, lors du Grand Prix d’ouverture, qu’Ericsson aura signé sa meilleure performance de la saison avec une huitième place. Paradoxalement, c’est sa première partie de saison qui aura été la plus difficile, avec ensuite une dixième place obtenue en Chine et puis… plus rien avant le Grand Prix de Hongrie en juillet avec de nouveau une dixième place. 

Auto-critique lucide

Ericsson a rapidement pris conscience de ce qu’il considère lui-même comme étant une mauvaise première partie de saison, ne cherchant pas d’excuse malgré le besoin d’un temps d’adaptation conséquent. 

"Je crois que mon début d’année était très décevant ; même si nous avons marqué quelques points j’ai eu le sentiment que je ne tirais pas le maximum de la voiture", admet-t-il avec franchise. "Mon équipe était vraiment forte au début, et je n’ai pas vraiment pu être au même niveau et je crois que cela m’a un peu stressé."

"Peut-être que je n’ai pas géré la situation de la meilleure manière, mais je crois qu’à partir de la deuxième partie de la saison j’ai vraiment progressé en tant que pilote et j’ai changé mon approche mentale pour devenir plus calme, plus contrôlé, et cela s’est vu en piste aussi."

Dixième à Spa-Francorchamps puis neuvième à Monza, Ericsson a en effet confirmé cette embellie à la fin de l’été, mais sans plus jamais marquer de points par la suite. A sa décharge, le manque de moyens de Sauber pour se consacrer au développement a irrémédiablement fait rentrer la C34 dans le rang, mais la comparaison reste douloureuse avec un Felipe Nasr qui aura réussi à entrer dans les points à Singapour, Sotchi et Austin. 

Il manque une étincelle

En qualifications, Ericsson a su faire jeu égal avec son coéquipier, battu d’une courte tête 11-8 par le Brésilien dans l’exercice du tour rapide sur l’ensemble de la saison. En entrant dans les points à six reprises, Nasr a également fait un peu mieux, mais Ericsson a lui aussi accroché le Top 10 par cinq fois. Ce qui a clairement fait la différence entre les deux hommes restera la capacité de Nasr à aller saisir les belles occasions pour inscrire de très gros points, comme ce fut le cas à Melbourne avec une cinquième place ou à Sotchi avec la sixième position. 

Avec 9 points récoltés durant sa campagne 2015, Ericsson termine sa saison au 18e rang, soit à la dernière position des pilotes ayant ouvert leur compteur, ce que seuls les pilotes Manor n’ont pas pu faire. Confirmé dès le milieu de saison chez Sauber en compagnie de Nasr pour 2016, il sera dépendant une nouvelle fois des performances de la monoplace helvétique mais devra se montrer davantage opportuniste pour saisir les belles occasions qui peuvent se présenter à une équipe de milieu de grille au fil d’une saison. 

  Marcus Ericsson en 2015

GP disputés 19
Tours parcourus 999
Top 10 5
Meilleur résultat 8e (Australie)
Meilleure qualification 9e (Malaisie)
Points marqués 9
Abandons 3
Clt Championnat 18e

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