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Analyse

Bilan mi-saison - Marcus Ericsson est à la peine

Marcus Ericsson, Sauber C34

Photo de: XPB Images

Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Marcus Ericsson, Sauber C34
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team

Malgré une première campagne peu convaincante chez Caterham, Marcus Ericsson est parvenu à obtenir un baquet chez Sauber F1 Team pour 2015, non sans l’aide de ses généreux sponsors suédois, aux côtés de Felipe Nasr.

Dossier - Les anciens pilotes Caterham - Marcus Ericsson

Plus expérimenté que son nouveau coéquipier, qui fait ses débuts en Formule 1, Ericsson se devait de faire au moins jeu égal pour prouver sa valeur, mais jusqu’à présent, ce n’est pas ce qui s’est produit.

En qualifications, le score est de 6-4 à l’avantage de Nasr avec plus d’un dixième d’avance en moyenne (0,128 seconde). La tendance semble être en train de s’inverser, puisque le Brésilien menait 5-1 après six Grands Prix avec deux dixièmes d’avance, mais Ericsson a pris l’ascendant sur les quatre plus récents : 3-1 pour le Suédois… toutefois avec 0,017 seconde d’avance pour Nasr!

Galerie - Toutes les photos de Marcus Ericsson

Sur les huit courses où les deux Sauber ont franchi le drapeau à damier, Ericsson n’a eu l’avantage que deux fois. C’était aux Grands Prix du Canada et de Hongrie. Or, à Montréal, Nasr avait été victime de problèmes techniques expliquant sa contre-performance.

Le reste du temps, Ericsson s’est toujours classé à plusieurs places de son coéquipier, d’où une grande différence au classement général : tandis que Nasr est 12e avec 16 points, le Suédois n’est que 18e avec six points seulement. Logique : Quand le Brésilien finissait 5e, 8e et 9e en Australie, en Chine et à Monaco respectivement, Ericsson se contentait des 8e, 10e, et 13e places. Sans oublier que ce dernier a fini le Grand Prix de Malaisie dans les graviers après être parti en tête-à-queue alors qu’il se battait pour la septième place.

Ericsson - La réussite en 2016 passe par le développement en 2015

"Je suis satisfait de mes performances, mais il y a des opportunités manquées que je regrette," déclarait le natif de Kumla à l’aube de la trêve estivale. C’est le cas, en effet. Et alors que Sauber semble reculer de plus en plus dans la hiérarchie, ayant monopolisé la neuvième ligne de la grille de départ en Hongrie, ces opportunités risquent fort de ne pas se représenter. Ericsson peut au moins se satisfaire d'avoir été confirmé par Sauber pour 2016 : quelles que soient ses performances, il sera en Formule 1 l'an prochain.

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