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Boullier : "Lotus Renault GP peut bien faire à Monaco"

Après des fortunes diverses à Barcelone, Eric se projette sur Monaco, une course qui réussit traditionnellement bien au team d’Enstone

Après des fortunes diverses à Barcelone, Eric se projette sur Monaco, une course qui réussit traditionnellement bien au team d’Enstone.

Vous avez vécu une course aux résultats contrastés en Espagne. Quels sont vos sentiments après un week-end aussi mitigé ?

"D’un côté, c’était frustrant. Vitaly s’est qualifié en sixième position, il aurait même pu aller plus vite dans son tour de qualification et ensuite il a perdu du terrain en course. Nous avions des attentes plus élevées avec sa voiture. D’autre part, nous sommes ravis pour Nick qui est parti du fond de la grille et s’est frayé un chemin jusqu’à la 8è place sous le drapeau à damiers, ce qui est positif. En plus, il finit dans les roues des Mercedes et cela aurait pu être encore mieux."

La saison apparait bien lancée maintenant et une hiérarchie semble s’installer dans les résultats. Que manque-t-il à l’équipe pour repousser le team Mercedes en progrès ?

"Nous ne sommes vraiment pas loin. Notre voiture parait rapide. Il nous faut juste plus de constance dans notre façon d’aborder et de créer des stratégies gagnantes et, bien sur, d’excellents pit stops. Si nous y parvenons, nous serons dans le peloton de tête. Si nous ne manquons pas de tour en qualification, nous serons en bonne position sur la grille et donc pour la course. Pendant la course elle-même, notre voiture parait capable de lutter pour le top six. Une fois que nous aurons assemblé ces pièces du puzzle, nous serons là."

Nous enchaînons sur Monaco cette semaine. Quels sont vos sentiments sur cette course unique ?

"Traditionnellement, les voitures d’Enstone se comportent bien à Monaco et je pense qu’il en ira de même cette année. Les stratégies pneus seront très compliquées, mais cela peut aussi nous être favorable. Alors nous verrons où nous en sommes. Le circuit lui-même est tellement différent de tous les autres du calendrier. Il tourne et vire sans cesse et offre très peu d’opportunités de dépassement. Et non seulement cela, mais la piste évolue tout au long du week-end (parce que ce sont les rues de la ville normalement). Alors les voitures devraient améliorer leurs performances après jeudi. Toute l’équipe est impatiente avant ce week-end."

En tant que Team Principal, à quoi ressemble un GP de Monaco, où vous êtes encore plus au cœur de l’action ?

"Le week-end de Monaco, c’est comme si nous arrêtions de respirer ! C’est un week-end très animé, chargé d’occupations et de travail, avec peu de sommeil où il faut donner le meilleur de nous-mêmes. Je suis confiant, nous réussirons."

Quelle importance tient Monaco dans la Formule 1 ?

"C’est une des courses clés du calendrier. Pour des raisons historiques, mais aussi glamour et même pour des raisons sportives parce que c’est un tracé très spécifique. C’est une course vraiment unique, qui rend la Formule 1 magique."

Le DRS a été autorisé sur cette course. Pensez-vous qu’il puisse être utilisé en toute sécurité et à quel endroit du circuit pourrait-il être activé ?

"Le souci à propos du DRS concerne son utilisation potentielle dans le tunnel. Cela ne sera pas un problème en course puisque la zone d’activation se trouvera sur la ligne droite des stands. Mais pendant les essais libres et en qualification, son usage n’est pas restreint. Les équipes vont donc tenter de se servir de l’aileron au maximum sur un tour. En certains endroits, cela ne posera pas de problème, mais d’autres rendent les pilotes moins confiants. En ce sens, la situation est identique à celle des autres circuits déjà empruntés cette saison. Le pilote doit juger où il peut activer son DRS en sécurité. Toute l’attention se concentre sur le tunnel où l’utilisation du DRS peut offrir un gros gain de temps si la voiture tient. Certains pensent que les sirènes de la performance peuvent entraîner les pilotes à prendre des risques inutiles. A mon avis, les pilotes vont construire leur confiance graduellement pendant les essais libres. Et lors de la qualification, ils sauront dans quelle proportion ils peuvent se servir du DRS sans danger dans le tunnel. Souvent, dans le passé, le tunnel s’est révélé difficile à prendre à fond au début du week-end, quand la piste est encore sale. Cela n’a pas causé d’accident. Les pilotes ont simplement pris le temps de hausser leur rythme, jusqu’à avoir la certitude que cela passe à fond. Je pense qu’ils auront la même approche avec le DRS."

[Communiqué de Lotus Renault GP]

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