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Hartley : "Quand j'étais petit, j'étais fan de Jean Alesi !"

Brendon Hartley révèle que dans son enfance, son pilote favori était Jean Alesi.

Jean Alesi. Ferrari 643

Photo de: LAT Images

Brendon Hartley est né fin 1989, quelques mois seulement après les débuts de Jean Alesi en Formule 1, et semble avoir accordé un grand intérêt à la carrière du Français dans les années 90, malgré son jeune âge.

"Dès mes premiers souvenirs, je me rappelle avoir regardé la Formule 1, et quand j'avais cinq ou six ans, j'étais fan de Jean Alesi", déclare Hartley. "J'imagine que c'est surtout parce qu'il avait le même numéro de course que moi, soit le 28 à l'époque. Je l'avais depuis mes débuts, tout comme mon père et mon frère... Donc quand j'étais petit, j'ai toujours été fan de Jean Alesi, et si vous me demandez pourquoi, je n'ai pas vraiment de réponse. Mais c'est quelqu'un de cool."

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Hartley s'apprêtait à fêter son 12e anniversaire lorsqu'Alesi a quitté la catégorie reine du sport automobile, fin 2001. Entretemps, le pilote Toro Rosso a vécu les moments de gloire de l'ancien pilote Ferrari et Benetton, notamment sa victoire au Grand Prix du Canada 1995 (Hartley avait cinq ans) et la majorité de ses 32 podiums, le dernier à Spa-Francorchamps en 1998.

Brendon Hartley
Jean Alesi, Ferrari 412T1

Au fil du temps, le Néo-Zélandais s'est également intéressé à l'héritage de son pays en Formule 1. Le trio composé de Bruce McLaren, Chris Amon et Denny Hulme a remporté un grand succès dans les années 1960 et au début des années 1970, avec 71 podiums dont 12 victoires à eux trois. Hulme a même été sacré Champion du monde en 1967 avec Brabham, tandis que McLaren a accroché la deuxième place au général en 1960 chez Cooper.

"En grandissant, j'ai pris davantage conscience de l'Histoire des pilotes néo-zélandais, mais je n'ai jamais eu la chance de les regarder en Formule 1", regrette Hartley, premier Kiwi en dans l'élite depuis Mike Thackwell en 1984. "J'ai pu faire connaissance avec Chris Amon, que je connais très bien – l'un de ses enfants était mon préparateur physique et est de ma région."

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"Même en allant en Europe, je suis devenu bien plus conscient de notre Histoire. Pas seulement au niveau des pilotes, mais aussi des mécaniciens et des ingénieurs. Cela m'a ouvert les yeux, quand je suis venu en Europe, de voir le respect que l'on me vouait en tant que Néo-Zélandais, juste en raison des gens qui m'ont précédé."

Il n'empêche que Hartley a enfin pu faire connaissance avec son héros d'enfance. Lorsque Motorsport.com lui demande s'il a déjà parlé avec Alesi du fait qu'il était fan, il répond : "Je lui ai dit, oui, je l'ai rencontré pour la première fois l'an dernier en Autriche, j'ai fait une photo avec lui. Il est vraiment cool comme gars."

Propos recueillis par Oleg Karpov

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