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Interview

Briatore : "J'étais proche de rejoindre Ferrari à deux reprises"

Le manager italien, lors d'une longue interview à Autosprint, a révélé qu'il a été tenté de répondre aux sirènes de Ferrari à plusieurs reprises.

Flavio Briatore

Photo de: Andrew Hone / Motorsport Images

Flavio Briatore talks, Fernando Alonso, Renault Sport F1 Team R25
Max Verstappen, Red Bull, meets Flavio Briatore
Race winner Fernando Alonso celebrates with Flavio Briatore
Il vincitore della gara Michael Schumacher, Benetton, Flavio Briatore
Podio: il terzo classificato David Coulthard, Red Bull Racing, Flavio Briatore, Managing Director Renault F1
Flavio Briatore si congratula con Michael Schumacher, Benetton
Flavio Briatore e Fernando Alonso, McLaren
Fernando Alonso, McLaren, con Flavio Briatore, in griglia di partenza

Flavio Briatore fut un pilier de la F1 durant de nombreuses années. Entre Benetton et Renault, l'Italien a décroché quatre titres de constructeurs et quatre Championnats du Monde des Pilotes, quatre sacres répartis à égalité entre Michael Schumacher et Fernando Alonso, deux joyaux révélés par le manager piémontais.

Depuis septembre 2009, suite à des enquêtes menées par la FIA à son encontre pour une faute présumée lors du GP de Singapour 2008 (et l'affaire du "Crashgate"), Renault a décidé de le démettre de ses fonctions, et depuis lors, il n'est plus revenu en F1.

Au cours d'une longue interview accordée à notre collègue Pino Allievi pour Autosprint, Briatore est revenu sur son expérience en F1 en révélant : "Il y avait deux équipes qui auraient voulu de moi. Ferrari, est venue me chercher pour la première fois entre 1994 et 1995. J'ai parlé sérieusement avec Umberto Agnelli, mais j'étais trop occupé avec Benetton avec qui j'avais aussi des parts à hauteur de 30%. Plus récemment, j'ai parlé à Montezemolo quand il était président, mais nous n'avons pas pu trouver d'accord.

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"La Mercedes est un cuirassé invincible", a poursuivi Briatore. "Au moins 5-6 pilotes, dont Alonso, auraient décroché le titre avec la voiture de 2019. Sans rien enlever à Hamilton, car alors il faut aussi battre votre compagnon d'écurie et précéder Lewis est un exploit. Chez Ferrari, Leclerc et Vettel partiront à égalité, mais après cinq courses, il faudra décider sur qui parier".

Briatore a également abordé le thème épineux de Vettel. Selon le manager italien, en fait, l'Allemand n'a qu'un problème psychologique, mais avec une voiture compétitive, il se battrait facilement pour le titre.

Enfin, l'ex-dirigeant de l'équipe Renault s'est concentré sur les futurs talents de la F1 : "J'aime beaucoup Verstappen, il est au top, il est fort et dépasse en créant du spectacle. Mais il doit apprendre à se taire. La déclaration sur Ferrari, qui selon lui était une tricherie, aurait pu être évitée pour deux raisons. Premièrement : ce n'était pas à lui de le dire. Deuxièmement, ce n'était pas vrai."

"Si je devais former ma propre équipe, je prendrais Leclerc et Max, deux phénomènes, afin de pouvoir gagner tous les Grands Prix et le Championnat du monde pour les 10 prochaines années. Comme voiture, je choisirais le moteur Ferrari, qui est le meilleur, et le châssis Mercedes."

 

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