Button - Hockenheim, pas aussi monumental que dans le passé
Agé de 34 ans et avec 256 GP au compteur, Jenson Button est désormais un vieux de la vielle en F1 et connaît une immense majorité des tracés old school sur lesquels évoluait encore la F1 avant la transition progressive vers de nombreux tracés flambant neufs dans les pays en voie de développement et au Moyen-Orient
Agé de 34 ans et avec 256 GP au compteur, Jenson Button est désormais un vieux de la vielle en F1 et connaît une immense majorité des tracés old school sur lesquels évoluait encore la F1 avant la transition progressive vers de nombreux tracés flambant neufs dans les pays en voie de développement et au Moyen-Orient. Après le retour de la F1 à Spielberg, Button se souvient désormais du vieil Hockenheim au moment d’arriver en Allemagne, où le tracé contemporain n’a plus grand-chose à voir avec le furieux Temple de la Vitesse proposé jusqu’en 2001.
« Je me souviens avoir couru sur l’ancien Hockenheim ; avec quatre lignes droites à 300 km/h, une paire de chicanes complexes et un secteur du stadium où l’on tenait bon avec une voiture sans appui ! Cela sonne comme un niveau de folie différent de celui d’aujourd’hui, mais c’était beaucoup de fun », se souvient l’Anglais, qui décrit un tracé plus technique aujourd’hui, et ne faisant pas uniquement pas part belle aux vitesses de pointe et à l’accélération.
« Le circuit redessiné ne pourra jamais être aussi monumental que l’ancien Hockenheim, mais c’est une bonne petite piste, et il a été pensé précisément pour encourager la course. La longue ligne droite inclinée menant au Virage 6 est faite sur mesure pour favoriser l’aspiration. Elle force la voiture de devant à être sur la défensive et est sur le chemin du Virage 7, où l’on dépasse généralement. On capitalise en général sur la sortie plus lente de l’autre voiture. Le Virage 8 est un autre endroit où il est possible de dépasser, car il est possible d’entrer dans le virage côte-à-côte avec un autre pilote et de maintenir cette position ».
Comme l’a déjà expliqué Eric Boullier,le retour sur un tracé proposant des courbes lentes peut laisser McLaren espérer un autre bon résultat : en dépit de la belle performance de Silverstone, le team se sait en difficultés sur les tracés plus rapides.
« On trouve une autre paire de virages à haute vitesse, mais le circuit est largement composé de courbes lentes, et notre auto ne devrait pas être désavantagée. C’est une course qui propose souvent une ou deux surprises, et je suis donc impatient d’être à ce weekend ».
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