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Leclerc : "Si nous paniquons ? Non, pas encore"

Charles Leclerc se refuse à tout défaitisme après une journée d'essais libres qui a donné un clair avantage à Mercedes au Grand Prix d'Australie.

Charles Leclerc, Ferrari SF90

Charles Leclerc, Ferrari SF90

Steven Tee / Motorsport Images

Charles Leclerc, Ferrari SF90
Charles Leclerc, Ferrari
Charles Leclerc, Ferrari SF90
Charles Leclerc, Ferrari SF90
Charles Leclerc, Ferrari
Charles Leclerc, Ferrari SF90

Les premiers essais libres de Charles Leclerc en tant que pilote Ferrari ne se sont pas déroulés de manière idéale, à Melbourne. Certes troisième des EL1 dans le dixième du leader, le Monégasque n'a pu faire mieux que le neuvième chrono l'après-midi, à plus d'une seconde du meilleur temps et à 0"281 de son coéquipier Sebastian Vettel.

"Les EL1 ont été très positifs, les EL2 un peu plus difficiles : nous n'avons pas semblé faire fonctionner les pneus aussi bien que souhaité", déplore Leclerc, qui se veut néanmoins rassurant : "Mais il n'y a pas de grande inquiétude. Nous avons déjà des idées quant à ce qu'il faut changer pour demain afin d'être meilleurs."

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Le nouveau pilote de la Scuderia s'est notamment fait remarquer par un tête-à-queue sans conséquence au virage 4, en fin de journée. "J'ai essayé d'accélérer sur le vibreur et j'ai juste fait une erreur, mais pas de gros dégâts, donc ce n'est pas très grave", tempère-t-il.

Le gouffre de huit dixièmes qui sépare Mercedes de la concurrence pourrait être source d'inquiétude, mais lorsqu'il lui est demandé si Ferrari cache quelque chose, Leclerc renchérit : "Au final, nous ne sommes pas à fond, ça c'est sûr. Nous ne verrons qu'en qualifications où nous nous situons exactement, mais je pense que la séance a été plus difficile. Vous me demandez si nous paniquons ? Non, pas encore."

L'écart avec Mercedes a été mentionné par les journalistes à plusieurs reprises par la suite, mais la réponse de l'intéressé, prudent, était immuable : "On verra demain après les qualifications."

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