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Chronique Vandoorne - McLaren-Renault, une bonne nouvelle pour la F1

Dans sa chronique pour Motorsport.com, Stoffel Vandoorne revient sur son Grand Prix de Singapour ainsi que sur l'annonce de la motorisation Renault chez McLaren pour 2018.

la chronique de Stoffel Vandoorne, Singapour

la chronique de Stoffel Vandoorne, Singapour

Stoffel Vandoorne

Stoffel Vandoorne pilotera la McLaren-Honda MCL32 lors de la saison 2017 de Formule 1. Retrouvez ses chroniques sur Motorsport.com !

Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32, au stand
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32
Stoffel Vandoorne, McLaren MCL32

Je me souviendrai du Grand Prix de Singapour comme d'un très bon week-end, particulièrement parce que j'ai pu décrocher mon meilleur résultat jusqu'à présent en Formule 1.

Mais il y a d'autres raisons pour lesquelles ce rendez-vous a été si satisfaisant, parmi lesquelles le fait que c'était ma première course à Singapour sur ce circuit, que l'on connaît comme étant l'un des plus gros défis de l'année. C'est un circuit urbain. C'est très, très bosselé et c'est aussi à haute vitesse, donc c'est vraiment un bon test pour nous tous.

Avoir Fernando Alonso à mes côtes me donnait un excellent point de référence, car il a gagné deux fois ici. Lors des premiers essais libres, j'avais déjà le sentiment d'être dans le rythme, ce qui était très positif. 

Après ça, la clé était de pouvoir monter en puissance, et de ne pas faire d'erreur lors des séances d'essais libres afin de disposer du plus de temps de piste possible.

Nous avons fait tout ça, et jusqu'aux qualifications il s'agissait d'ajuster le set-up de la voiture et de faire les dernières petites modifications. En matière de vitesse globale, nous nous sommes qualifiés plus ou moins là où nous aurions dû, mais je pense aussi avoir montré de solides performances en Q1 et en Q2 par rapport à Fernando.

Pour Fernando et moi, nous savions que les Renault seraient difficiles à battre, mais nous avons attaqué extrêmement fort pour essayer de le faire. Au final, nous n'avons malheureusement pas réussi, mais nous avions tout de même des raisons d'être heureux en nous qualifiant huitième et neuvième.

Lorsque la pluie est arrivée avant le départ, je savais qu'il y avait une opportunité pour nous. Dans des circonstances difficiles comme celles-ci, les accidents étaient presque inévitables, particulièrement maintenant que les départs arrêtés sont quelque chose que nous ferons davantage sur le mouillé. Si cela rendait les choses plus difficiles, je savais que nous pouvions énormément en profiter en partant de notre position.

J'ai pris un bon départ, mais j'ai dû éviter la pagaille du premier virage, et j'ai donc perdu quelques positions. Ensuite, le principal objectif était de rester à l'écart de tout problème et de passer les premiers tours.

C'était compliqué au début de choisir avec quels pneus prendre le départ, entre les pluie et les intermédiaires. Je pense que, pour le départ, les pneus pluie étaient les bons, mais avec la voiture de sécurité en piste et la pluie qui s'est arrêtée, la performance en intermédiaires a rapidement été meilleure.

Nous avons donc dû faire un arrêt et nous avons perdu quelques positions. Après ça, il s'agissait d'attaquer et de faire notre propre course.

Notre stratégie était à peu près précise, c'est juste dommage d'avoir pris plus de temps que prévu lorsque nous sommes passés aux pneus slicks. Mon tour de sortie après ça était extrêmement rapide mais malheureusement, nous sommes ressortis derrière Jolyon Palmer.

Ensuite, je me suis bien battu avec lui, mais je ne pouvais pas tenter de manœuvre de dépassement. Au final, j'ai terminé septième, ce qui est un très bon résultat pour l'équipe, et bien sûr mon meilleur résultat jusqu'à présent en F1. J'ai tout de même le sentiment que j'aurais pu faire mieux.

Évidemment, le week-end ne s'est pas passé uniquement en piste pour tout le monde chez McLaren, en raison de la grosse annonce quant à notre passage au moteur Renault pour 2018.

Avant tout, c'est dommage que ça n'ait pas fonctionné avec Honda, car je pense que ça aurait été le mieux pour tout le monde si tout s'était bien passé. Mais c'est une nouvelle enthousiasmante pour l'équipe de se joindre à Renault pour l'année prochaine.

C'est bien pour McLaren, c'est bien pour Renault, et bien pour la F1. C'est donc passionnant, et je pense que ça apporte une nouvelle motivation à l'équipe, pour franchir un gros palier l'an prochain.

Je pense que d'ici la fin de cette année, nous devons continuer à pousser très fort avec Honda. Il y a encore six Grands Prix, et nous voulons en tirer le meilleur.

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