Comment Pérez fait face à la complexe culture Red Bull
Sergio Pérez a passé la majorité de sa carrière à piloter en milieu de peloton, se demandant s'il aurait un jour une chance d'accéder à une équipe de pointe. Red Bull lui a donné cette opportunité, et bien que la vie au sommet soit difficile, le vainqueur de Bakou fait tout ce qu'il faut pour s'entendre avec Max Verstappen.
Il doit y avoir quelque chose dans la façon dont Max Verstappen pilote les monoplaces de Red Bull qui perturbe celui qui se trouve dans l'autre cockpit. Quatre coéquipiers différents en autant de saisons : une instabilité rarement atteinte à Milton Keynes depuis l'arrivée de Dietrich Mateschitz, en 2005. Daniel Ricciardo, l'ancien enfant prodige, a vu de quel côté le vent soufflait et a choisi de "quitter la maison" pour un nouveau départ (ou "fuir un combat", comme l'a dit Christian Horner). Pierre Gasly n'a tenu que 12 courses avant que Red Bull ne le renvoie d'où il venait, alors que le Normand n’a jamais semblé aussi performant qu’il ne l’est aujourd’hui. Pas de chance pour Alex Albon, qui se trouve désormais en DTM, son nouveau refuge puisque la F1 n’avait plus de baquet à lui proposer.
Aujourd'hui, Sergio Pérez est l'homme chargé d’inverser la tendance, en essayant de découvrir comment faire pour que la Red Bull numéro 2 soit aussi performante que celle de Verstappen. Une tâche compliquée dans une écurie quasi entièrement dévouée au Néerlandais, pilier central depuis le départ de Ricciardo fin 2018.
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