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2019 vs 2018 : qui est en avance, qui est en retard ?

En dressant un comparatif des points inscrits à l'approche du quart de la saison, plusieurs équipes attirent l'attention, pour des raisons évidemment différentes. C'est le cas de Mercedes, Ferrari et Red Bull, mais également de Renault et McLaren, non sans un certain paradoxe.

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W10 devant Valtteri Bottas, Mercedes AMG W10 alors que Sebastian Vettel, Ferrari SF90 bloque une roue au départ

Zak Mauger / Motorsport Images

Après cinq Grands Prix, soit près du quart de la saison, et un retour en Europe effectué le week-end dernier à Barcelone, une première tendance se dessine quant à l'évolution des résultats des écuries de F1. Si le constat des chiffres est implacable, il ne permet toutefois pas de préjuger des conclusions qui seront tirées début décembre, mais l'état des lieux à l'instant T reste un élément digne d'intérêt. La comparaison est d'autant plus probante que le calendrier 2019 est jusque-là identique à celui de 2018.

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Avec ses cinq doublés en autant de course, auxquels il faut ajouter le point du meilleur tour en course pris par deux fois, il va sans dire que Mercedes affiche pour le moment la plus belle progression qui soit d'une année sur l'autre. Le compteur de l'écurie de Brackley est ainsi crédité de 64 points de plus qu'à la même époque l'an dernier, et c'est finalement là que se fait la principale différence avec Ferrari. Car dans le même temps, et alors qu'elle ne compte aucune victoire contre deux à ce stade en 2018, la Scuderia n'a finalement que cinq unités de retard sur son tableau de marche de l'an passé.

Points par écurie entre 2018 et 2019, après cinq GP

Comparer le début de cette saison à celui de la précédente permet également de mettre en lumière le pari plutôt réussi de Red Bull Racing. En passant du moteur Renault au Honda, l'écurie autrichienne n'a pas connu la dégringolade que certains voulaient bien lui promettre. Mieux, elle a renforcé son statut de troisième force avec sept points de mieux à son compteur.

Bien entendu, la grande tendance qui se dégage après cinq courses provient du milieu de tableau extrêmement resserré, avec des positions qui ont d'ailleurs beaucoup évolué d'un Grand Prix à l'autre jusqu'au présent. Aucune quatrième force ne se démarque pour le moment, et c'est en partie en raison du très mauvais début de saison de Renault. Le Losange affiche de loin la plus grosse régression, avec pas moins de 29 points manquant à son total si on le met en parallèle avec celui de l'an passé après le Grand Prix d'Espagne.

Autre illustration de ce peloton particulièrement dense et sans locomotive désignée : le paradoxe McLaren. L'écurie de Woking attire les compliments en raison de sa bonne forme, ainsi que des belles promesses que semble en mesure d'apporter la MCL34. Et pourtant, l'équipe avait 18 points de plus il y a un an ! On se souvient que Fernando Alonso avait saisi quelques opportunités de briller lors des premières courses, mais aussi que tout s'était ensuite effondré…

Lando Norris, McLaren MCL34, devant Nico Hulkenberg, Renault R.S. 19

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