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Les conditions atmosphériques ont tout changé pour Renault

Renault avait idéalement débuté son week-end barcelonais, avec une journée aussi solide que prometteuse vendredi, mais la réalité des qualifications a été beaucoup plus difficile à admettre.

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Photo de: Sutton Motorsport Images

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Tandis que Jolyon Palmer n'a même pas franchi le cap de la Q1, Nico Hülkenberg n'est pas parvenu à accéder à une Q3 à laquelle il commençait à s'habituer. Treizième sur la grille de départ, l'Allemand ne s'attendait pas à être à ce point englué dans le milieu de grille, et s'explique difficilement ce net recul si ce n'est en constatant l'évolution de la météo. 

"Les conditions rencontrées cet après-midi n’ont pas joué en notre faveur", estime Hülkenberg. "Il y avait beaucoup de vent et des températures plus élevées qui ont nui à notre performance aérodynamique. Dans la mesure où nous étions plutôt satisfaits ce matin, nous n’avons pas changé grand-chose sur la voiture. La vraie différence venait donc des conditions atmosphériques."

"Je n’étais pas autant satisfait de la voiture qu’en essais libres, cela dit je suis satisfait de mes tours, particulièrement mon dernier de Q2 qui était très bon. Nous en sommes là aujourd’hui, mais nous allons nous remettre au travail, continuer à pousser et essayer de faire une bonne course demain."

Difficile pour l'écurie française de masquer sa déception, d'autant que la R.S.17 s'était jusqu'à aujourd'hui montrée sous son meilleur jour à chaque fois dans l'exercice du tour rapide, davantage qu'en course. C'est pourtant bien dans ce domaine qu'il faudra exceller dimanche pour tenter de remonter vers un top 10 encore accessible.

"C’est frustrant, car deux dixièmes de moins nous auraient mis dans une position plus proche de nos standards habituels", estime Alan Permane, directeur sportif de Renault F1. "La bagarre était très serrée au cœur du peloton et nous nous retrouvons à la mauvaise place aujourd’hui. Il n’y avait pas de problème particulier sur une voiture ou un domaine en particulier, c’est juste que nous manquions de grip. C’est pour cela que nous n’avons pas été capables d’afficher un meilleur rythme."

"Il semblerait que les pneus se dégradent plus vite ici que sur les autres circuits et cela va offrir des opportunités pour différentes stratégies dans ce domaine. La gomme medium obligatoire est notablement plus dure et plus lente que la gomme tendre : cela représente un défi en soi. Comme toujours, nous ferons notre possible pour faire progresser nos deux monoplaces dans la hiérarchie."

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