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Ricciardo pas encore habitué aux freins de la McLaren

Daniel Ricciardo continue de s'acclimater aux freins de son nouveau bolide, jugeant que cela représente une difficulté majeure à chaque changement d'écurie.

Daniel Ricciardo, McLaren MCL35M

Photo de: Charles Coates / Motorsport Images

Les journées d'essais se suivent et se ressemblent pour Daniel Ricciardo à Bahreïn. Que ce soit hier ou aujourd'hui, le nouveau pilote McLaren a signé le meilleur temps de la matinée avec un chrono de 1'32"2, d'un souffle devant la concurrence, avant de céder le volant à son coéquipier Lando Norris pour la séance de l'après-midi. Surtout, Ricciardo a parcouru 97 tours en deux jours, de quoi commencer idéalement sa prise de marques au volant de la MCL35M.

"Je pense que tout s'est très bien passé. Je ne sais pas qu'est-ce qui aurait pu mieux se passer. Des chronos plus rapides !" sourit l'Australien. "Non, en général, je pense que c'est très bien. Nous avons fait la plupart des relais que nous avions prévus. Maintenant, je fais la séance du soir demain, cela complètera l'ensemble. Quand nous courrons et nous qualifierons ici, j'aurai probablement une meilleure compréhension d'où se situe la limite de la voiture, dans des conditions plus optimales, disons."

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Cependant, Ricciardo ne cache pas qu'il n'est pas encore à l'aise au volant de son nouveau bolide. "C'est compliqué, parce qu'on ne veut jamais vraiment admettre que l'on ne pilote pas à la limite, mais je pense que c'est la réalité, cela prend bel et bien un peu de temps, disons, d'exécuter les choses à 100%", reconnaît-il. "Je suis certain que je m'en rapproche, mais fais-je corps avec la voiture ? Pas encore. Mais j'ai des attentes élevées pour moi-même en vue de la séance de demain soir, et j'ai pour objectif de me rapprocher de ça. Cela prend naturellement un peu de temps, mais je ne veux pas me donner le temps."

Daniel Ricciardo, McLaren dans son garage

Lorsque Ricciardo avait quitté Red Bull pour rejoindre Renault en 2019, c'était notamment le freinage qui lui avait posé problème, et il semble que cette thématique soit toujours d'actualité pour son passage chez McLaren : "C'est certainement différent à nouveau. Je suis donc probablement encore en train de m'y adapter ou de m'y ajuster. Je pense qu'en passant de Red Bull à Renault et de Renault à McLaren, le freinage est probablement la principale chose à laquelle il faut s'adapter."

"Bref, je pense que c'en est aussi une que j'essaie encore de maîtriser, pour laquelle j'essaie de comprendre où se trouve la limite de la voiture. Mais globalement, ces deux dernières années, [McLaren] semblait avoir une très bonne voiture au freinage. Je pense qu'une fois que j'y serai habitué, ce devrait être très bien. J'espère que l'on verra de beaux dépassements de ma part à nouveau. Des dépassements tardifs !"

Ricciardo attend en tout cas avec impatience l'opportunité de piloter la McLaren lors de la dernière séance de ces essais, de 15h à 19h ce dimanche, dans des conditions qui seront bien plus représentatives de ce qu'elles seront en qualifications et en course dans deux semaines. D'autant que l'écart lié à la température de piste explique le gouffre qui sépare Ricciardo (en 1'32 les deux premiers jours) de Norris (en 1'30).

"Elle se comporte très bien actuellement, c'est certain", indique-t-il lorsqu'il lui est demandé si la voiture est aussi stable, fiable et rapide dans le cockpit qu'elle n'en a l'air vu de l'extérieur. "Je ne veux pas esquiver la question, mais il faut que je fasse une séance du soir, car même si nous sommes rapides sur la feuille des temps lors des séances de jour, la piste est à 40 degrés. Ce n'est pas si représentatif de ce dont j'ai l'habitude ici ; naturellement, la voiture glisse et est instable, la sensation n'est donc pas électrisante, mais c'est lié à la piste. Manifestement, nous sommes performants."

"Bref, dans 24 heures, j'aurai probablement une meilleure idée du véritable équilibre de la voiture, mais les deux jours, avec des changements de direction du vent à 180°, nous avons été très solides. Il y a donc certainement plus de points positifs que négatifs pour l'instant."

Propos recueillis par Luke Smith

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