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"Déçu", Renault F1 estime que les top teams ont été plus malins

Pour Bob Bell, le directeur technique de Renault, l'écurie française estime que les grosses équipes ont été plus malignes pendant l'hiver et est "déçue" de ne pas avoir suffisamment progressé.

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H, Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H, Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18

Glenn Dunbar / Motorsport Images

Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18
Max Verstappen, Red Bull Racing RB14 devant Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB14 et Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18, arrive sur la grille
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team R.S. 18
Carlos Sainz Jr., Renault Sport F1 Team R.S. 18

La structure d'Enstone a été la plus régulière derrière le top 3 lors des trois premiers Grands Prix de la saison 2018 mais a connu des pics de performance moins importants que McLaren, Haas et Toro Rosso.

Renault est en cinquième place du classement constructeurs, trois points derrière son équipe cliente McLaren, mais Bell explique que les progrès n'ont pas été aussi significatifs qu'espéré.

"Je dirais que nous sommes déçus de ne pas être plus haut. Nous espérions reprendre un petit peu de temps sur les équipes du top 3 cet hiver. Ce n'est pas le cas, et si quelque chose s'est passé, elles ont légèrement creusé l'écart. Nous n'avons pas fait un travail suffisamment bon, nous n'avons pas été aussi malins qu'elles pendant l'hiver dans le design et le développement de la voiture."

L'écart entre le temps de la pole et le "meilleur des autres" a augmenté en Australie et à Bahreïn par rapport à l'an passé, mais s'est réduit en Chine.

Bahreïn est la seule course qui peut véritablement faire l'objet d'une comparaison, et en 2018 la voiture la plus proche de celles de pointe, la Toro Rosso de Pierre Gasly, a terminé 7,9 secondes plus loin que son équivalent de 2017.

Renault lui-même a clairement progressé au début de cette troisième année en tant qu'écurie d'usine et la tendance en qualifications pour ce début d'année est positive.

Retard de Renault sur les avant-postes

Comparaison des performances en qualifications de Renault entre 2017 et 2018

 

Écart avec la pole en 2018 (en %)

Écart avec la pole en 2017 (en %)

Évolution (en %)

 Australie

2.918

3.532

-0.614

 Bahreïn

1.833

1.209

+0.624

 Chine

1.577

2.075

-0.498

En rythme de course, les choses ont été pires à Bahreïn, Nico Hülkenberg ayant été relégué à 19 secondes de plus que l'an passé par rapport au vainqueur.

Renault est toujours en phase de recrutement et d'amélioration de son usine d'Enstone. Bell reconnaît que les équipes de pointe "ont toujours l'avantage quand il s'agit de faire une nouvelle voiture".

La R.S.18 est aussi légèrement plus lourde que l'équipe aurait espéré. "Je pense qu'il y a une bonne chance de réduire [l'écart], parce qu'il y a une loi des rendements décroissants et ils vont connaître ça. Il va nous être plus facile de faire des progrès par rapport à eux."

Bell affirme être "raisonnablement heureux" des performances de Renault par rapport à McLaren, qui a mal jugé ses objectifs de développement pour 2018 et souffre particulièrement en qualifications.

Il reconnaît que des structures comme Toro Rosso et Haas rendent la vie du Losange "très difficile" et s'attend à ce que la saison soit "serrée".

"Nous étions évidemment très inquiets au sujet [de McLaren] quand ils sont arrivés avec le moteur. Ils sont très bons dans le développement en cours de saison, pour se relever du déficit au départ. Ça va vraiment, vraiment être serré. Nous espérions être un peu plus devant pour commencer, mais ce n'est pas une science exacte."

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