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En difficulté, Wehrlein voulait changer de châssis

En difficulté depuis quelques Grands Prix, Pascal Wehrlein cherche le remède à ses soucis. Celui-ci ne passera pas par un changement de châssis, mais Sauber s'efforce de trouver des solutions.

Pascal Wehrlein, Sauber C36

Pascal Wehrlein, Sauber C36

Sam Bloxham / Motorsport Images

Pascal Wehrlein, Sauber C36
Pascal Wehrlein, Sauber C36
Pascal Wehrlein, Sauber C36
Pascal Wehrlein, Sauber
Pascal Wehrlein, Sauber C36
Pascal Wehrlein, Sauber C36
Pascal Wehrlein, Sauber
Pascal Wehrlein, Sauber C36

C'est Pascal Wehrlein qui a marqué les cinq points de Sauber cette saison, mais depuis quelque temps, l'Allemand n'est plus que l'ombre de lui-même. Il a été battu par son coéquipier Marcus Ericsson lors des trois dernières séances qualificatives, accusant un retard moyen de 0"261. Dernier de la course au Japon, Wehrlein a abandonné au bout de cinq tours à Austin suite à un accrochage, et s'est classé 14e à Mexico... quand Ericsson jouait les points.

Les difficultés de Wehrlein pourraient toutefois venir de sa C36, et l'écurie a apporté des pièces neuves au Grand Prix du Brésil afin de résoudre ces problèmes.

"Nous avons changé de nombreuses pièces sur ma voiture parce que j'étais en difficulté lors des dernières courses", déclare le pilote Sauber. "Marcus et moi avons toujours utilisé des réglages très similaires, et maintenant nous devons régler la voiture de façon complètement différente, ce qui est un peu étrange. J'espère que nous pouvons résoudre le problème."

"J'ai juste des difficultés avec l'équilibre de la voiture. Les deux voitures se comportent de façon très différente. Dans certains virages rapides, je perds énormément, et j'ai beaucoup de survirage. J'ai l'impression qu'il se passe quelque chose sur l'arrière de la voiture."

"C'est depuis la Malaisie. La Malaisie a été une très bonne course, j'étais proche de la Q2, j'étais très content du niveau de performance, mais depuis, c'est différent."

Wehrlein est allé jusqu'à demander un changement de châssis, mais le petit budget de Sauber ne le permet pas forcément, et le châssis de rechange a subi l'impact des violents accidents d'Antonio Giovinazzi au Grand Prix de Chine.

"Nous avons changé le fond plat à la dernière course, et maintenant, nous changeons d'autres pièces aéro à l'arrière. Nous avons aussi de nouvelles suspensions pour ce week-end. J'aurais aimé changer de châssis pour ce week-end, mais ça n'a malheureusement pas été possible. Le nôtre est très vieux, et l'autre a dû être réparé deux fois à cause d'Antonio au début de la saison. Celui-là, nous ne voulons pas l'utiliser", conclut Wehrlein.

Propos recueillis par Adam Cooper

 

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