Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

Disparition de Bianchi - Prost garde un sentiment de révolte

Jules Bianchi, Marussia F1 Team MR03 devant Adrian Sutil, Sauber C33

Photo de: XPB Images

Messages de soutien à Jules Bianchi
Jules Bianchi, Marussia F1 Team
Alain Prost
Adrian Sutil assiste aux opérations de secours après l'accident de Jules Bianchi
Jules Bianchi, Marussia F1 Team MR03

Réagissant avec émotion au décès de Jules Bianchi, Alain Prost a également tenu à revenir sur les circonstances du terrible accident du Grand Prix du Japon, à Suzuka. 

La quadruple Champion du Monde a maintenu sa position ferme quant au fait qu'une "petite erreur de jugement" avait bel et bien mené au drame ce jour-là, dans des conditions de piste exécrables.

Voiture de sécurité

Prost insiste notamment sur le fait qu'il considère toujours, même après publication du rapport d'enquête commandé par la FIA, qu'il était absolument nécessaire de faire entrer la voiture de sécurité avant d'utiliser la dépanneuse contre laquelle Bianchi est venu stopper sa course. 

"J’ai dit ce que je pensais à ce moment-là et je n’ai pas l’intention de changer aujourd’hui, même s’il y a eu des enquêtes et de nombreuses réunions et discussions", a insisté Prost au micro d'i-télé. "Je pense simplement qu’il y a eu une petite erreur de jugement qui a coûté très cher. Il y avait un accident, des conditions déplorables de pluie et de visibilité... Il fallait mettre la voiture de sécurité, ralentir la course avant de faire rentrer la dépanneuse ; c’est ça l’erreur de jugement."

"L’enquête a montré quelque chose de différent, c’est ce qui est un peu révoltant, même si je connais tous ces gens et que je les apprécie. Ils ont fait beaucoup pour la sécurité."

Un point noir à éradiquer

Prost estime que tous les progrès effectués durant de nombreuses années sur le plan de la sécurité ont manqué de s'attarder sur ce qu'il considère comme un éternel point noir : les dépanneuses en piste.

"Depuis 21 ans [et le décès d'Ayrton Senna à Imola le 1er mai 1994], on n’a pas eu d’accident mortel en F1, ça veut dire qu’il y a eu beaucoup de travail de fait. Mais comme partout il y a toujours un peu plus à faire. La seule chose qui restait à faire pour la sécurité concernait cette dépanneuse qui entre sur des circuits."

Article précédent Après le décès de Bianchi, le GPDA promet de ne "jamais se relâcher"
Article suivant Coulthard - Le danger fera toujours partie de la F1

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse