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Dossier - Les anciens pilotes Caterham - Marcus Ericsson

Marcus Ericsson, Caterham CT05

Marcus Ericsson, Caterham CT05

XPB Images

Marcus Ericsson, Caterham
Marcus Ericsson, Caterham CT05
Marcus Ericsson, Caterham F1 Team et Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 Team
Marcus Ericsson en tête à queue à La Source
Marcus Ericsson, Caterham CT05

Marcus Ericsson n’est pas considéré comme l’un des meilleurs pilotes du plateau actuel, et sa saison 2014, passée chez Caterham, en est en partie responsable.

C’est après quatre saisons de GP2 marquées par seulement trois victoires (dont une campagne passée chez DAMS, équipe qui a mené Grosjean, Valsecchi et Palmer au titre) qu’Ericsson est arrivé chez Caterham F1. C’est Kamui Kobayashi qui lui était associé.

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Ericsson a connu une saison difficile. La CT05 conçue par Caterham était la pire monoplace du plateau, et le grand Suédois subissait un handicap de quelques dixièmes de seconde au tour par rapport à son coéquipier à cause de son poids.

C’était néanmoins loin d’expliquer l’écart de performances entre les deux pilotes : sur les onze premiers Grands Prix, c’était presque une seconde au tour en moyenne !

Ericsson s’est également trouvé dans la situation très embarrassante de se qualifier à une seconde d’André Lotterer en Belgique, lorsque l’Allemand a fait ses débuts en Formule 1 dans une voiture qu’il n’avait jamais pilotée auparavant.

De façon similaire, Ericsson peinait à tenir le rythme de Kobayashi en course, à part au Grand Prix du Japon où il avait livré une performance particulièrement appréciable.

Ericsson a également signé le meilleur résultat de l'écurie en 2014, sa onzième place à Monaco. Il était toutefois derrière la Marussia de Jules Bianchi, qui a marqué les deux points de son écurie ce jour-là.

Cette première saison plus que médiocre n’a pas empêché le natif de Kumla de trouver un meilleur baquet en Formule 1 pour la saison 2015, chez Sauber, notamment grâce à ses mécènes.

Son niveau de performance n'est toutefois pas à la hauteur de celui de son nouveau coéquipier Felipe Nasr. Lors de la première séance qualificative de la saison, l'écart restait cette fameuse seconde, et le Suédois ne compte que cinq unités au compteur contre seize pour le Brésilien, après sept manches disputées cette saison.

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