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Ecclestone : Chez Ferrari, "c'est trop italien" pour réussir

Avec des mots bien à lui, Bernie Ecclestone a critiqué l'organisation de la Scuderia Ferrari, estimant qu'elle n'avait plus rien à voir avec ce que Jean Todt avait su mettre en place en son temps.

Vue du logo Ferrari sur la Ferrari SF71H

Photo de: Erik Junius

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H
Sebastian Vettel, Ferrari dans le Parc Fermé
Bernie Ecclestone
Sebastian Vettel, Ferrari pushes his car back in the pit lane
Maurizio Arrivabene, team principal Ferrari et Gino Rosato, Ferrari
Sebastian Vettel, Ferrari pushes his car back in the pit lane
Un fan de Ferrari

Présent dans le paddock de Sotchi en marge du Grand Prix de Russie, Bernie Ecclestone n'a pas perdu l'occasion de lâcher quelques bons mots, fidèle à son habitude. L'ex-grand argentier de la Formule 1 reste un observateur attentif de la catégorie reine et a un avis bien tranché sur la mauvaise passe traversée par Ferrari.

Bien que disposant d'une monoplace qui, sur plusieurs Grands Prix estivaux notamment, était considérée comme la meilleure du plateau, la Scuderia a laissé filer Mercedes et voit désormais Sebastian Vettel accuser un retard de 40 points sur Lewis Hamilton.

Si rien n'est encore terminé alors que six Grands Prix restent à disputer, la tendance ne s'inverse pas pour le moment, à l'image d'une séance de qualifications qui a vu les monoplaces rouges subir une grosse déconvenue face aux Flèches d'Argent, l'écart se chiffrant à une demi-seconde. 

Lire aussi:

Interrogé par ESPN sur les difficultés de Ferrari, Ecclestone répond sans équivoque et avec son style bien à lui : "C'est trop italien. Je l'ai dit à quelqu'un l'autre jour, on revient à l'ancien temps."

Un "ancien temps" faisant référence à l'ère qui a précédé les succès de Jean Todt et Michael Schumacher au début des années 2000 ? "Oui. Avant", confirme Ecclestone avant de développer : "On a demandé à Todt d'y aller et de s'occuper un peu de tout ça, donc ce n'était pas trop italien, et Michael [Schumacher] dirigeait l'équipe. Tout était donc un peu différent. Je pense qu'il leur manque ce type d'organisation désormais."

Pour aller plus loin dans sa réflexion, Ecclestone estime que c'est le modèle très différent des deux écuries qui crée une différence définitive dans leur réussite. Selon lui, la Scuderia est trop liée à ce qu'est Ferrari au sens général, tandis que Mercedes a laissé les clés de son écurie à un management dédié uniquement à la compétition.

"Ferrari emprunte une voie totalement différente de Mercedes", estime-t-il. "Mercedes a une équipe purement dédiée à la course, c'est tout ce qu'ils font, ils n'ont rien à voir avec le constructeur. Ferrari s'occupe de la partie production automobile, en la liant plus ou moins à ses performances en Formule 1. C'est fait d'une différente manière." 

 

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