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Ecclestone - Ferrari doit se reprendre et commencer à gagner

Dans un entretien pour le site officiel de la Formule 1, Bernie Ecclestone s'est penché sur le cas de la Scuderia Ferrari et de ses difficultés.

Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H

Photo de: Ferrari

Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H s'arrête aux stands
Sebastian Vettel, Ferrari sur la grille
Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H
Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H salue la foule à la fin de la course
Sebastian Vettel, Ferrari fête sa troisième place sur le podium
Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H s'arrête aux stands
Sebastian Vettel, Ferrari SF16-H

Après un début de saison prometteur, l'écurie de Maranello n'a pas confirmé les espoirs placés en elle : non seulement elle n'a remporté aucune victoire mais Red Bull, qui était en retrait lors de la première moitié de saison, a pris l'avantage sur les Rouges et même signé deux succès dans une année pourtant de nouveau dominée par Mercedes.

Dans ce contexte, et comme souvent, la coulisse a tremblé : le mécontentement de Sergio Marchionne, le président de Ferrari, ayant notamment eu pour effets notables d'encourager le départ de James Allison, qui avait pourtant suscité beaucoup d'espoirs à son arrivée, et de conduire à une nouvelle réorganisation de la structure depuis plusieurs mois. 

Dans le même temps, Maurizio Arrivabene, qui a été propulsé à la tête de la Scuderia en 2015, a semblé plus fragilisé que jamais. Et c'est sur ce point que Bernie Ecclestone, le directeur général du Formula One Group, a été interrogé. "Tout ce que j’espère est que Ferrari se reprenne et commence à gagner des courses."

"Il est probable que Maurizio [Arrivabene] ait désespérément besoin d’un bon soutien comme chez Mercedes, par exemple. S’il avait le soutien que Mercedes a, ils gagneraient des courses, c’est certain. Je suis sûr que vous allez voir une écurie Ferrari différente l’année prochaine."

Selon lui, 2017 verra Mercedes, Red Bull et Ferrari s'affronter à un même niveau pour la victoire. "Oui. Et c’est ce que nous voulons. Nous ne voulons pas aller sur une course et savoir qui va gagner."

Dans ces conditions difficiles où Ferrari semble toujours en quête de résultats mais aussi de stabilité, Sebastian Vettel pourrait-il être le catalyseur de toute une équipe pour la mener vers le succès comme l'a été Michael Schumacher à la fin des années 1990 ?

"Non [Vettel n'a pas le pouvoir qu'a eu Schumacher]. Quand Jean Todt a pris cette place et est allé à Maranello - ce qui était un peu un risque pour Jean - c’était une équipe entièrement italienne et ils étaient un peu inquiets de prendre un étranger. Mais je leur ai dit : quand vous allez gagner le championnat, vous trouverez sûrement un ancêtre dans la famille de Jean qui venait de Sicile. (rires)"

"Maintenant, c’est redevenu une équipe très italienne. Et c’est dirigé comme une équipe italienne. Donc je n’envie pas le travail de Maurizio. Je ne voudrais pas le faire."

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