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Des embouteillages "ridicules" au Paul Ricard

Les routes entourant le Circuit Paul Ricard sont marquées par des embouteillages non négligeables du petit matin à la fin de soirée, au grand dam des fans, mais aussi de ceux qui travaillent en Formule 1.

Des bouchons aux abords du circuit

Photo de: Steven Tee / Motorsport Images

B.V., Le Castellet - Les fans de Formule 1 ne sont pas les seules victimes d'embouteillages qui ont contraint un grand nombre d'entre eux à passer la majeure partie du vendredi dans leur véhicule.

Otmar Szafnauer, directeur général de Force India, révèle avoir dû annuler une réunion d'affaires, un invité n'étant pas parvenu à rejoindre le site varois.

"Cela nous a pris deux heures pour faire 15 kilomètres. C'était ridicule", dépore Szafnauer. "Nous avions un invité qui venait en avion pour une réunion avec moi avant de repartir en avion également. Il n'est jamais arrivé. Il a dû faire demi-tour et retourner à l'aéroport. Il m'a téléphoné et m'a dit : 'Désolé, j'ai fait 7 km en deux heures et demie, mon vol est à 17h. Il faut que je fasse demi-tour'."

Alors que le Circuit Paul Ricard est au calendrier de la Formule 1 pour les cinq prochaines années, Szafnauer craint que cette mauvaise expérience ne dissuade les fans d'y revenir, ces derniers ayant vigoureusement exprimé leur mécontentement.

"Pour moi, ce n'est pas un gros problème que ça me prenne deux heures pour faire 15 kilomètres, je vais venir de toute façon. Si j'étais un fan et qu'il me fallait deux heures et demie pour faire 7 km le vendredi, j'y réfléchirais à deux fois."

"C'est ça le problème. Pour moi, ça ne change rien. Je viens, c'est mon travail. Mais les fans ont le choix, et ils vont sûrement choisir d'aller sur un événement où ça ne prend pas deux heures et demie pour faire 7 km."

Grosjean et Vettel stoppés par la police

Quant à Romain Grosjean et Sebastian Vettel, s'ils avaient obéi aux ordres de gendarmes peut-être un peu trop zélés, ils ne seraient simplement jamais arrivés au circuit.

Lorsqu'il lui est demandé s'il est plus simple d'accéder au Paul Ricard quand on est pilote, Grosjean répond : "Non, ce n’est pas plus simple parce que les gendarmes, je les cite, 'on s’en fout' qu’on soit des pilotes. J’étais avec Sebastian Vettel, on s’est fait arrêter par des gendarmes au cédez-le-passage. On s’est arrêtés normalement. Ensuite, on a voulu repartir, ils n’ont pas voulu nous laisser repartir. Je leur ai expliqué qu’on était des pilotes et que sans pilotes, il n’y avait pas de show. C’est là qu’ils m’ont gentiment répondu : 'on s’en fout'."

Face à cette situation, il n'y avait qu'une solution, indéniablement imparable : "On a accéléré ! Ils étaient à pied. C’était un peu dommage, c’est un peu surprenant. On avait les badges autour du cou, les habits, on avait tout."

Malgré la décision d'ouvrir tous les parkings à 6h30 ce matin, les problèmes de trafic se poursuivent. En provenance de Toulon, ce matin à 8h, il y avait dix kilomètres de bouchons en arrivant au circuit.

Des bouchons aux abords du circuit

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