Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

Ericsson ne comprend pas la "mode des jeunes pilotes"

La tendance est à la jeunesse en Formule 1, où les pilotes sont de plus en plus jeunes. Une "mode" que Marcus Ericsson peine à comprendre.

Daniel Ricciardo, Red Bull Racing, Daniil Kvyat, Red Bull Racing, Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso et Carlos Sainz Jr., Scuderia Toro Rosso

Photo de: Red Bull Content Pool

Max Verstappen, Red Bull Racing RB12 face à Daniil Kvyat, Toro Rosso STR11
Daniil Kvyat, Scuderia Toro Rosso et Max Verstappen, Red Bull Racing
L'humeur de Cirebox - Les chaises musicales de Red Bull
Daniil Kvyat, Scuderia Toro Rosso, Carlos Sainz Jr., Scuderia Toro Rosso
Esteban Ocon, Sahara Force India F1 Team
Lance Stroll, Williams
Max Verstappen, Red Bull Racing RB12 et Marcus Ericsson (SWE) Sauber C35
Marcus Ericsson, Sauber C35 et Daniil Kvyat, Scuderia Toro Rosso STR11
Marcus Ericsson, Sauber F1 Team, Pascal Wehrlein, Manor Racing
Marcus Ericsson, Sauber C35 and Pascal Wehrlein, Manor Racing MRT05 battle for position

Qu'il est loin, le temps où l'on pouvait courir en Formule 1 à 50 ans ! Désormais, c'est à la sortie de l'adolescence que certains pilotes font leurs débuts dans la catégorie reine du sport automobile, là où il y a quelques années seulement, commencer à 25 ans restait dans la norme.

La moyenne d'âge du plateau est symptomatique de cette tendance. Pendant seize ans, le Grand Prix de France 1997 a tenu le record de la grille de départ la plus jeune à 27 ans, 5 mois et 2 jours, lorsque Gianni Morbidelli et Oliver Panis avaient quitté le plateau au profit de Tarso Marques et Noberto Fontana. Le rajeunissement général a toutefois vu ce record battu à 29 reprises lors des quatre dernières saisons, le Grand Prix de Bahreïn 2015 détenant la palme à 26 ans, 9 mois et 10 jours de moyenne.

Et ce n'est que le début. Lance Stroll va rejoindre la grille à 18 ans, alors que Jenson Button est sur le départ. Si les signatures de Valtteri Bottas chez Mercedes, de Felipe Massa chez Williams et de Pascal Wehrlein chez Sauber se confirment, on retrouvera six pilotes de 22 ans ou moins au sein du plateau : Ocon, Verstappen, Kvyat, Sainz, Stroll et Wehrlein.

En revanche, les pilotes de plus de 32 ans ne seront qu'au nombre de trois : Kimi Räikkönen, Fernando Alonso et Felipe Massa. La moyenne d'âge devrait donc, encore une fois, se situer autour des 27 ans – une moyenne bien plus basse aurait pu être atteinte en cas de retraite effective de Massa et de présence de Manor sur la grille, l'équipe anglaise engageant habituellement des jeunes pilotes.

Cette tendance à la jeunesse, dont Max Verstappen est quelque peu devenu l'emblème en remportant sa première victoire en Grand Prix à l'âge de 18 ans seulement, Marcus Ericsson ne la comprend pas.

"Je vois les jeunes pilotes qui arrivent", commente le Suédois. "Pour une raison que j'ignore, en ce moment, il y a en Formule 1 une mode des pilotes les plus jeunes possibles. Mais comme l'a dit Fernando [Alonso], je ne vois vraiment pas pourquoi il faut être si jeune. De façon réaliste, dans d'autres sports, c'est entre 25 et 30 ans qu'on est à son meilleur niveau."

"J'ai 26 ans, donc je ne suis pas stressé par mon âge. Si j'avais cinq ans de plus, ce serait une autre histoire. J'atteins l'apogée de mon âge, et ce n'est pas quelque chose qui me handicape."

Gravir les échelons

Marcus Ericsson porte d'ailleurs un regard positif sur ses dernières performances en Formule 1, bien qu'il se soit classé au 22e rang du championnat du monde en 2016, soit le pire résultat de sa carrière. Il est vrai que le Suédois n'a pas démérité par rapport à son coéquipier Felipe Nasr : le score en course est de 9-4 à son avantage lors des manches où les deux pilotes Sauber ont franchi le drapeau à damier, alors qu'en qualifications, Ericsson a dominé 12-7.

"Mes deux premières années en F1 ont été difficiles, j'ai vraiment dû partir du fond de grille, je n'étais nulle part avec Caterham, toujours dernier ou avant-dernier. J'ai vraiment dû me battre pour gravir les échelons, et ça n'a pas été facile, mais ça m'a rendu de plus en plus fort en tant que pilote, surtout du côté mental, c'est là où j'ai le plus progressé. Mais il faut que je continue comme ça, je ne veux pas rester là où j'en suis", conclut le Nordique avec ambition.

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent Hamilton - La F1 devrait s'inspirer des shows à l'américaine
Article suivant Paddy Lowe quitte Mercedes

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse