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Faute coûteuse pour Hülkenberg dans le top 5

Renault Sport F1 Team quitte l'Azerbaïdjan en étant la seule écurie dont les deux voitures ont abandonné lors de cette course. Un très bon résultat était pourtant à la portée du Losange.

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Sutton Motorsport Images

Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17
Cyril Abiteboul, directeur général Renault Sport F1 Team, lors de la conférence de presse
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17

Nico Hülkenberg a en effet réalisé un début de course particulièrement solide, puisqu'il a bondi de la 13e à la dixième place au départ avant de remonter peu à peu jusqu'à une cinquième place qui aurait pu se transformer en top 3 lorsque Lewis Hamilton et Sebastian Vettel ont dû effectuer un arrêt au stand imprévu. En effet, seuls Daniel Ricciardo et Lance Stroll se trouvaient entre les leaders et Hülkenberg au 24e tour. Les deux hommes allaient finir respectivement premier et troisième.

L'Allemand a cependant commis une erreur extrêmement coûteuse lorsqu'il a brisé sa suspension sur le mur intérieur du virage 7. Il a logiquement été contraint à l'abandon.

"C’est toujours une question d’équilibre sur les tracés urbains : s’approcher au maximum des murs, mais pas trop", commente Hülkenberg. "Hélas, je l’ai effleuré à l’avant droit et c’était suffisant pour casser la suspension. C’est frustrant pour toute l’équipe et moi."

"Jusque-là, la course était assez intéressante et nous semblions être en mesure de poursuivre notre série dans les points. C’était assez difficile de gérer la température des pneumatiques sur les relances, mais je pense que tout le monde a assisté à une épreuve animée. La suite aura lieu en Autriche, espérons des jours meilleurs !"

Pour Jolyon Palmer, qui avait été privé de qualifications par un incendie survenu sur sa monoplace dans la dernière séance d'essais libres, la course ne s'est pas mieux passée, loin de là, avec un abandon dès les premiers instants du Grand Prix.

"J’ai subi un raté en rejoignant la grille", relate l'Anglais. "Le phénomène a empiré et la voiture devenait tellement peu maniable que nous n’avions pas d’autre choix que d’arrêter. J’avais effectué un bon envol et quelques dépassements pour être 15e. Mon début de course était donc correct."

"C’était l’un de ces week-ends où rien ne se passe comme prévu et je ne me souviens pas avoir réalisé aussi peu de tours sur l’ensemble d’un rendez-vous. J’espère retrouver une voiture fiable en Autriche afin de connaître un Grand Prix propre et de démontrer mon potentiel." Palmer n'a en effet parcouru que 43 tours du circuit de Bakou ce week-end, soit 258 kilomètres : c'est moins que la distance d'une course.

Succès pour Red Bull

Logiquement, l'ambiance est morose chez Renault, qui vient de perdre la septième place du championnat des constructeurs au profit de Haas. Kevin Magnussen a marqué six points pour l'écurie américaine en Azerbaïdjan.

"En un jour comme celui-ci, un double abandon est le pire qui puisse arriver à l’équipe, tant sur le plan des résultats que de notre position au championnat", déplore Cyril Abiteboul, directeur général. "Nous devons comprendre et résoudre immédiatement les problèmes techniques qui ont tout simplement empêché Jolyon de participer à la course et ceux n’ayant pas permis à Nico d’être mieux placé sur la grille."

"Nous avons assisté à un Grand Prix très inhabituel et animé. Nous espérons que ce double abandon sera le seul de notre saison. Voir une voiture Red Bull Racing sur la plus haute marche du podium représente le seul point positif. Sur un circuit comme Bakou, ce succès est une formidable récompense des efforts consacrés aux gains de performances destinés à nos clients." Autant dire que le verre est toujours à moitié plein.

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