Vue du la roue et de l’essieu soufflant.
Vue de la face arrière du volant avec les commandes manuelles de l’embrayage et des changements de vitesses.
Australie : L’aileron avant en cours d’assemblage avec les différentes versions de volets.
Bahreïn : L’équipe a procédé à des changements aux flancs de la voiture, devant l’entrée des pontons, ainsi qu'aux conditionneurs de flux d’air qui profitent d’un support additionnel (flèche rouge).
Bahreïn : L’extension de fond plat a été modifiée avec ces trois fentes (voir les flèches) qui modifient l’écoulement de l’air.
Bahreïn : Comparaison des aubes de déviation utilisées en Chine et à Bahreïn. Notez que la longue fente de l’élément avant a été retirée et que la forme de l’élément arrière a été revue (illustré en jaune).
Bahreïn : Photo de la VJM10 à Bahreïn et lors de son lancement, en inséré, pour fins de comparaison. La dérive latérale est désormais munie d’un grand nombre de fentes verticales (flèches rouges), la pré-dérive a été allongée (flèche blanche), et la connexion entre le conditionneur et le ponton a été amincie (flèche jaune).
Monaco : Afin de mieux équilibrer la voiture sur le circuit lent de Monaco, la Force India était munie d’un T-wing à trois éléments et d’un monkey seat.
Canada : Les dérives ont été encore une fois modifiées. La partie supérieure des éléments verticaux a été changée (flèche blanche) et la pré-dérive a été allongée (flèche rouge).
Canada : Durant les essais libres, la Force India était munie de ce treillis de capteurs installé sur le ponton.
Azerbaïdjan : Vue du train arrière de la Force India, de son aileron et de son diffuseur.
Azerbaïdjan : Ici et au Canada, la VJM10 a roulé sans les canards des dérives.
Azerbaïdjan : Pour fin de comparaison, illustration de l’aileron précédent, doté des canards.
Autriche : Lors des essais libres, un treillis de capteurs a été installé à l'arrière de la voiture.
Grande-Bretagne : Comparaison des ailerons avant. Notez l’ajout d’une fente dans le plan principal et le nombre de volets qui passe de deux à trois.
Grande-Bretagne : Dès l’Autriche, le cockpit de la VJM10 a eu droit à ces deux canards incurvés (flèches bleues).
Grande-Bretagne : Vue latérale des dérives. Notez la multiplication des mini-ailettes entre les deux éléments.
Hongrie : Suspension avant de la Force India avec son troisième amortisseur destiné à limiter le pilonnage de la voiture.
Essais au Hungaroring : La VJM10 a roulé avec de la peinture de visualisation de flux afin de mieux comprendre la performance aérodynamique de certaines pièces.
Belgique : Vue bien dégagée du frein avant de la VJM10. Notez les nombreux conduits destinés à acheminer de l’air frais aux différents composants.
Italie : Vue du diffuseur dont une section a été enduite de peinture de visualisation des flux.
Italie : Les deux conduits provenant de la soupape de décharge du turbo ont été soudés à la tubulure de l’échappement.
Singapour : Apparition de la fameuse échine de stégosaure posée sur l’arête du capot moteur. Cette série de mini-ailettes génère un vortex qui améliore le rendement de l’aileron de requin. Notez aussi l’ailette de boîte à air, de plus grande taille (flèche bleue), qui ressemble à celle utilisée par Williams (en inséré).
Singapour : Comparaison de deux types de T-wing. À gauche, celui utilisé à Singapour et à droite, celui de Monaco. Celui de Singapour a toujours trois éléments, mais ouverts sur toute la longueur (illustré en jaune).
Malaisie : Belle vue dégagée du flanc de la voiture, qui montre bien les dérives latérales munies de plusieurs échancrures courbées.
Japon : Notez la complexité des dérives et le carénage de l’entrée d’air du ponton.
États-Unis : Un monkey seat à deux éléments et deux petites ailettes ont été introduits au Japon. La version précédente apparaît en inséré.
Mexique : Les dérives ont été modifiées pour le Mexique avec un changement aux éléments verticaux (flèche rouge), une révision de la pré-dérive (flèche bleue), l’addition d’une autre rangée de mini-ailettes (flèche verte) et le rehaussement du dernier élément de la dérive principale pour en faire un déflecteur (flèche blanche).
Mexique : Force India a testé, mais n’a pas utilisé en course, une solution déjà vue sur la Mercedes W08 et la Red Bull RB13. Il s’agit de trois arêtes fixées au bord d’attaque courbé du fond plat et destinées à apaiser les turbulences à cet endroit tout en générant ses propres vortex.
Mexique : Superbe vue de l’aileron avant. Cette arche est destinée à diriger les flux d’air vers l’extérieur, si possible loin du pneu avant.
Mexique : Vue des deux canards fixés aux dérives latérales de l’aileron avant.
Mexique : Vue du T-wing à trois éléments dont chacun possède une fente sur toute sa longueur. Remarquez aussi les petits supports métalliques insérés au centre des éléments et qui servent à maintenir l’écart constant en dépit de la force aérodynamique qui tend à le refermer.
Mexique : Les deux éléments des aubes de déviation possèdent des rebords inférieurs en dents de scie. Ils créent des petits vortex qui s’ajoutent les uns aux autres afin d’en former un seul, plus gros.
Brésil : Afin de mieux protéger le monkey seat de l’intense chaleur qui se dégage de l’échappement, l’équipe a ajouté une pellicule protectrice à son bord d’attaque.
Brésil : Un treillis de capteurs a été installé à l’arrière de la monoplace afin de mesurer les effets de l’interaction du diffuseur avec le sillage du pneu arrière.
Brésil : Belle vue dégagée montrant la complexité de la dérive latérale.
Brésil : L’aileron avant est divisé en deux sections. Celle de gauche, peinte, génère de l’appui tandis que celle de droite, noire de carbone, vise à faire dévier l’air du pneu avant et ainsi reformer le sillage du pneu.
Brésil : La Force India VJM10 sans sa carrosserie.
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