Le design original de l’aileron arrière de la Renault a immédiatement été source de controverse, car son support était fixé directement à l’activateur du DRS et non pas au plan principal. Il fut déclaré non conforme.
Le conditionneur de flux d’air des pontons a été surnommé "Aerocat" par les membres de l’écurie à cause de sa ressemblance avec un chat.
Avant du châssis avec, en évidence, le troisième amortisseur en position horizontale.
Vue bien dégagée de la tubulure d’échappement traversée par le support de l’aileron arrière.
Russie : les rebords inférieurs des dérives latérales ont été dotés de deux échancrures.
Espagne : une modification a été apportée aux dérives latérales maintenant dotées de rebords plus larges et munies de quatre persiennes incurvées.
Monaco : pour le circuit urbain de Monaco, la Renault disposait d’un T-wing à trois éléments. Notez la présence d’une lamelle métallique sous le pilier de l’aileron et qui le relie au plan principal, ce qu’exigeait la réglementation.
Azerbaïdjan : voici les deux types d’ailerons qui étaient disponibles, chacun doté d’extrémités de volets différents.
Azerbaïdjan : une autre modification avait été apportée aux dérives latérales maintenant dotées de rebords et persiennes aux formes différentes.
Azerbaïdjan : apparition de nouvelles aubes directrices dotées d’un bord d’attaque double qui modifie l’écoulement de l’air à cet endroit.
Azerbaïdjan : utilisation d’un aileron arrière fin en forme de cuillère afin de réduire la traînée dans les lignes droites.
Canada : le tambour du frein avant possède une cloison dotée de trois ouvertures en forme de goutte d’eau qui dirigent l’air frais sur toute la surface du tambour et qui laissent s’échapper la chaleur intense.
Autriche : sans le capot moteur, on voit bien la forme du conduit qui achemine l’air frais vers le moteur et ses accessoires.
Grande-Bretagne : une autre modification a été apportée aux dérives latérales.
Hongrie : assemblage d’une R.S.17 dans les garages du Hungaroring.
Hongrie : vue dégagée de l’aileron arrière, du diffuseur et des équerres détachées qui bordent le diffuseur.
Belgique : arrière du volant avec les palettes d’embrayage et de changements de vitesses.
Italie : ensemble du frein avant droit de la R.S.17 sans son tambour. Notez l’essieu soufflé, introduit plus tôt durant la saison.
Italie : pour affronter le circuit ultra rapide de Monza, la Renault disposait d’un aileron arrière fin en forme de cuillère complété par des dérives latérales avec seulement deux persiennes.
Malaisie : volant de la Renault R.S. 17.
Mexique : les dérives latérales ont encore une fois été modifiées pour le circuit de Mexico City, situé en altitude.
Mexique : T-wing à trois éléments dont chacun est muni d’une longue fente sur toute sa longueur.
Mexique : vue de la dérive latérale de l’aileron arrière. Jusqu’à la fin de la saison, la section externe du diffuseur a été l’objet d’intenses recherches aérodynamiques.
Mexique : afin de faciliter l’évacuation de l’air chaud, une mince équerre a été fixée au rebord arrière de la carrosserie (flèches rouges).
Brésil : superbe image du rebord inférieur et des persiennes de la dérive latérale.
Brésil : train arrière de la R.S.17.
Brésil : cette photo montre les ailettes disposées à l’arrière de l’écope de frein gauche arrière.
Brésil : durant les essais libres, les ingénieurs ont placé ces minuscules capteurs près de la boîte à air pour mesurer les perturbations aérodynamiques.
Abu Dhabi : ces capteurs de flux d’air mesurent la vitesse de l’air à différents endroits derrière l’aileron avant.
Tests d’après-saison à Abu Dhabi : lors de ces essais, la Renault a roulé avec ces nombreux treillis de capteurs. Notez la présence d’une caméra pointée vers l’arrière et située entre les deux supports de l’aileron avant.
Tests d’après-saison à Abu Dhabi : la R.S.17 est munie de capteurs de forces dynamiques sur les roues afin d’estimer les contraintes que vont imposer les pneus Pirelli 2018. Les ingénieurs vont comparer ces données à celles obtenues au cours des années précédentes.
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