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Ferrari : L'avantage moteur, pas aussi grand que fut celui de Mercedes

Ferrari met en avant le fait que son avantage moteur actuel est moins important que ce que les gens pensent et pas aussi "immense" que celui qu'avait Mercedes par le passé.

Charles Leclerc, Ferrari SF90, devant Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 W10

Photo de: Glenn Dunbar / Motorsport Images

Depuis le début de l'ère turbo hybride, Mercedes a largement démontré avoir mieux compris et mis en œuvre la réglementation moteur. Avec dix titres sur dix possibles entre 2014 et 2018, et une campagne 2019 très bien embarquée sur les deux tableaux, la structure allemande reste la référence absolue, tant sur le plan contemporain qu'historique.

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Toutefois, l'avantage moteur net dont l'écurie a joui lors des trois ou quatre premières saisons des unités de puissance actuelles semble avoir disparu et même s'être transformé en un retard sur Ferrari, dont les groupes propulseurs font merveille en termes de vitesse de pointe. Une certaine frustration peut se lire du côté de Mercedes, qui peine à comprendre comment Maranello est parvenu à repousser les limites de puissance en dépit d'une réglementation stable et de performances théoriquement convergentes.

Toutefois, interrogé par Motorsport.com sur le point de savoir s'il était surpris de l'avantage de son équipe au niveau moteur dans une période de convergence, Mattia Binotto a répondu : "Je ne suis pas complètement d'accord avec ce que vous avez dit. D'abord, je ne pense pas que les autres convergent. Je crois toujours qu'il y a des différences entre les quatre constructeurs. Nous avons probablement le moteur le plus puissant, mais je ne pense pas que les autres soient tous au même niveau."

"Et je pense que notre avantage n'est pas aussi important que ce que vous pourriez penser. Nous avons un assez grand écart de vitesse par rapport aux autres, mais c'est aussi lié à la voiture, et à la traînée. Si on en vient à l'analyse plus détaillée, je pense que oui, nous avons un avantage, mais il n'est pas aussi immense, par exemple, que celui qu'avait Mercedes par le passé, époque où ils avaient simplement le meilleur moteur."

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Ferrari a fait le choix, avec la SF90, d'un concept à faible traînée aérodynamique. Une telle option implique que la résistance à l'air est réduite et que la vitesse de pointe est donc naturellement plus importante, sans forcément que le moteur et sa puissance jouent un rôle direct. Toutefois, pour certains observateurs dans le paddock, cette philosophie ne pourrait représenter que deux à trois dixièmes de seconde au tour quand, en Russie, un avantage allant jusqu'à sept dixièmes par rapport à Mercedes était estimé dans les pleines charges.

Avec Scott Mitchell et Adam Cooper 

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