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Ferrari n'exclut pas des changements organisationnels

Ferrari va profiter des deux semaines avant le prochain Grand Prix pour remettre en question tout ce qui doit l'être à Maranello, y compris son organisation interne.

Charles Leclerc, Ferrari SF1000, aux stands

Charles Leclerc, Ferrari SF1000, aux stands

Glenn Dunbar / Motorsport Images

Après trois premiers Grands Prix pénibles, un seul podium et une cinquième place occupée au championnat constructeurs, Ferrari envisage des changements organisationnels. L'écurie italienne n'est pas seulement distancée par Mercedes en ce début de saison, puisqu'elle subit aussi la loi d'autres équipes et a bien du mal à s'extirper du milieu de peloton, comme l'a de nouveau prouvé le Grand Prix de Hongrie.

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La Scuderia s'attendait à souffrir, à la lumière du bilan des essais hivernaux de Barcelone, mais pas dans une telle mesure. Son directeur Mattia Binotto reconnaît que la situation est pire que prévu et que tout doit être envisagé pour tenter de la redresser.

"Nous avons vu à Barcelone que nous n'étions pas suffisamment rapides, mais nous ne nous attendions pas à une situation si difficile", explique-t-il. "C'est certainement pire, par rapport aux attentes. Après trois Grands Prix consécutifs, il y a deux semaines avant d'aller à Silverstone, et il sera important à Maranello d'évaluer tous les aspects de la voiture et de l'organisation : tout ce qu'il faut améliorer."

La direction de Ferrari est ouverte à l'idée de modifier son organisation, par exemple en mettant en place un directeur technique qui viendrait soutenir Binotto. Ce dernier insiste sur l'urgence pour l'équipe de comprendre ce qui a mal tourné avec la SF1000. Une évolution a bien été introduite dès le deuxième Grand Prix en Autriche, mais cela ne suffit pas à combler l'écart.

"Je crois que les évolutions que nous avons apportées en Autriche ont amélioré la corrélation entre la soufflerie et la piste", précise Binotto. "Nous avons au moins corrigé ces points-là. Mais le déficit de performance est toujours là. Nous manquons de vitesse en ligne droite et nous manquons de vitesse en courbe. Globalement, la voiture doit être améliorée dans tous les domaines, c'est aussi simple que ça."

La Scuderia doit en plus composer avec les restrictions de développement et le gel à venir du châssis entre 2020 et 2021, ce qui pourrait prolonger considérablement cette période difficile.

"Ne pas avoir la liberté totale rendra certainement notre travail plus difficile", concède Binotto. "Nous ne pourrons comprendre à quel point nous pouvons combler l'écart qu'une fois que nous aurons pleinement compris la raison pour laquelle nous sommes lents. Je crois qu'il est tout simplement trop tôt pour le savoir. Nous nous concentrerons d'abord sur la compréhension de la voiture et de là où nous pouvons progresser très vite." 

"Cela prendra du temps car ce n'est pas quelque chose qui se règle en quelques semaines. La patience sera de mise. Comme je l'ai dit auparavant, quand il faut progresser dans tous les domaines, ce n'est pas simple à corriger, ce n'est pas une solution facile ou un package simple. Ça prendra du temps. Combien ? Je n'ai pas encore la réponse."

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