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Ferrari compte sur la VMax et son rythme de course à Sepang

Kimi Raikkonen, Scuderia Ferrari

Photo de: XPB Images

Sebastian Vettel, Ferrari SF15-T
Sebastian Vettel, Scuderia Ferrari
Sebastian Vettel, Scuderia Ferrari
James Allison, Ferrari
Toni Cuquerella, Ferrari et James Allison, Ferrari
Simone Resta, Ferrari et Esteban Gutierrez, pilote d'essais Ferrari
Kimi Raikkonen, Scuderia Ferrari

Forte d'un premier podium décroché à Melbourne il y a deux semaines, la Scuderia Ferrari aborde le deuxième rendez-vous de la saison avec confiance. Mais il est encore trop tôt pour s'emballer dans les rangs de l'équipe de Maranello, qui n'oublie pas que le chemin est encore long pour aller concurrencer Mercedes. 

A Sepang, c'est un circuit très différent de Melbourne qui va permettre à Ferrari de passer un nouveau test grandeur nature. Pourtant, les deux tracés ont des exigences globalement similaires, mais dans un contexte qui n'a rien à voir. 

"Normalement, nous évaluons les circuits avec deux paramètres : le niveau d'appui aérodynamique requis et la puissance nécessaire du moteur", précise James Allison, Directeur Technique de la Scuderia. "Si l'on regarde uniquement ces deux paramètres, Sepang est très similaire à Melbourne. Par conséquent, la compétitivité de la voiture devrait être similaire." 

L'un des critères propres au circuit de Sepang est l'incertitude quasi-permanente qui règne autour de la météo. Ce devrait d'ailleurs de nouveau être le cas ce week-end

"En Malaisie, il fait bien plus chaud et plus humide, et c'est un facteur qui affecte à la fois la voiture et les pneus. De plus, un orage soudain peut exiger un changement immédiat de stratégie : tout le monde surveille la météo en permanence, mais le temps de réaction est toujours vital." 

Nous devons établir une compréhension précise de notre véritable niveau.

Simone Resta

Après les bons débuts de Sebastian Vettel et Kimi Räikkönen en Australie, Ferrari entend toutefois confirmer. Le rythme de course de la SF15-T sera une qualité à mettre de nouveau en avant, tout comme le gain réalisé avec l'unité de puissance en termes de vitesse de pointe. La gestion de l'usure pneumatique sur un tracé qui exerce de fortes contraintes sera également capitale. 

"Nous avons différentes demandes à gérer : la fiabilité et la performance, que ce soit pour l'unité de puissance ou pour l'aérodynamisme", rappelle Simone Resta, Chef Designer. "Nous sommes encore dans les premières étapes de la saison, donc nous devons établir une compréhension précise de notre véritable niveau. A Melbourne, nous avons réussi à atteindre une bonne vitesse de pointe, ce qui pourrait être utile dans les deux longues lignes droites du circuit de Malaisie. Pour le moment, notre rythme est assez bon et, sur un circuit comme celui-là, où la dégradation des pneus est très élevée, cela pourrait être un avantage pour nous."

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