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Ferrari explique ses difficultés par les pneus, pas le moteur

Selon Mattia Binotto, c'est l'incapacité à faire fonctionner les pneus qui explique le vendredi particulièrement délicat de Ferrari à Spa-Francorchamps.

Charles Leclerc, Ferrari SF1000, bloque sa roue avant droite

Photo de: Zak Mauger / Motorsport Images

Ferrari s'attendait à vivre un week-end difficile en Belgique, il pourrait même devenir pénible. La "triste" performance des SF1000 vendredi en essais libres, telle que l'a qualifiée Charles Leclerc, a démontré que les craintes étaient légitimes. Lors de la séance de l'après-midi, le Monégasque a terminé à une très lointaine 15e place tandis que Sebastian Vettel n'a pu faire mieux que le 17e chrono. Une forme à peine croyable lorsque l'on repense au niveau de performance de la Scuderia sur ce même tracé de Spa-Francorchamps il y a tout juste un an.

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Le manque de vitesse de pointe de Ferrari est largement mis en avant pour expliquer la situation, ramenant invariablement à l'affaire de l'exploitation du moteur italien en 2019 et à l'accord secret passé durant l'hiver avec la FIA. Une nouvelle fois, Mattia Binotto monte au créneau pour démonter cette théorie, assurant que le manque de rythme des Rouges en Belgique n'est pas uniquement lié à la V-max.

"Nous avons du mal à faire fonctionner les pneus", assure le directeur de Ferrari. "Nous manquons d'adhérence, que ce soit au freinage ou à l'accélération. Il n'y a pas de performance globale sur la voiture. Les pilotes se plaignent du grip général. Ce n'est pas le potentiel de notre voiture, ce n'est certainement pas sa position normale si l'on compare à là où nous nous situons sur la grille et à la compétitivité des autres. La situation est la même sur les deux voitures, donc ce n'est pas lié aux pilotes. C'est vraiment la manière dont nous réglons la voiture afin de trouver la bonne fenêtre avec les pneus."

Vendredi, Ferrari a expérimenté différents niveaux d'appui aérodynamique sur sa monoplace afin de déterminer quelle solution était la meilleure entre la forte et la faible traînée. Les ennuis rencontrés avec les gommes ont rendu les conclusions très difficiles à établir selon Mattia Binotto. En l'état actuel des choses, le niveau de Ferrari pourrait signifier qu'aucune des deux monoplaces ne parvienne à accéder à la Q3 en qualifications ce samedi après-midi.

"Si l'on ne trouve pas la bonne fenêtre avec les pneus, on ne les fait pas fonctionner", martèle Binotto. "Si l'on n'a pas de grip, on n'est pas rapide dans le deuxième secteur, puis la conséquence est d'être lent dans les trois secteurs. Il y a énormément à faire afin d'essayer de corriger les choses pour le reste du week-end."

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