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Ferrari accepterait l'idée de voitures clientes, pas McLaren

Mattia Binotto assure que Ferrari pourrait être d'accord sur l'utilisation de voitures clientes pour aider les petites équipes, mais McLaren milite pour que la Scuderia accepte l'abaissement du plafond budgétaire.

Lando Norris, McLaren MCL34, devant Sebastian Vettel, Ferrari SF90

Photo de: Andy Hone / Motorsport Images

Face aux difficultés rencontrées par les petites équipes de Formule 1, aggravées en cette période de crise, l'idée de permettre aux plus grosses structures de vendre leur monoplace de l'année précédente à des rivaux aux finances limitées a été évoquée durant les réunions à distance que tiennent les équipes, la FIA et Liberty Media. Mattia Binotto, directeur de Ferrari, n'en fait pas une solution de premier choix, mais assure que son équipe serait prête à accepter cette possibilité si cela permettait la survie de ses concurrents les moins bien lotis. 

"Si l'urgence actuelle mettait vraiment l'existence de certains de nos rivaux dans la discipline en doute et rendait nécessaire la révision de certains points essentiels, Ferrari y serait ouvert", a assuré Binotto au Guardian. "Ce n'est même pas un sacrilège, compte tenu du fait que c'est arrivé par le passé en F1 et que ça arrive aujourd'hui en MotoGP."

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Une idée que ne partage pas Zak Brown, le PDG de McLaren, qui insiste sur le fait que les voitures clientes ne seraient pas une solution viable pour l'avenir de la F1 : "La dernière fois qu'il y a eu des monoplaces clientes, je crois que c'était dans les années 70", a déclaré l'Américain à plusieurs médias dont Motorsport.com. "Pour la F1, dans laquelle il y a un championnat constructeurs, je ne vois pas comment cette potentielle solution a du sens face à d'autres commentaires disant que dans son ADN, la F1 est un championnat constructeurs et une évolution de la technologie ; c'est une solution des années 70."

Un des débats qui anime les réunions actuellement est celui de la réduction du plafond budgétaire. Avec une introduction prévue en 2021 à hauteur de 175 millions d'euros, celui-ci semble aujourd'hui encore trop élevé, alors que la F1 traverse une crise sans précédent à cause du COVID-19. Soutenu par plusieurs directeurs d'équipe, Brown milite pour un abaissement de cette limite et il espère que les autorités régissant la F1 le soutiendront et ne donneront pas raison à Ferrari : "C'est à la FIA et à la F1 d'être derrière [nous], mais je ne crois pas qu'ils puissent l'empêcher s'il y a assez [d'équipes] en accord avec ce qui est proposé."

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