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La FIA aurait enquêté sur Bottas même sans la plainte de McLaren

Le directeur de course de la Formule 1, Michael Masi, a expliqué que les commissaires de la FIA auraient enquêté sur le tête-à-queue de Valtteri Bottas dans les stands du GP de Styrie même sans l'intervention de McLaren.

Des membres de McLaren assistent Valtteri Bottas, Mercedes W12, dans la voie des stands

Des membres de McLaren assistent Valtteri Bottas, Mercedes W12, dans la voie des stands

Steven Tee / Motorsport Images

Lors des Essais Libres 2 du Grand Prix de Styrie le week-end dernier, Valtteri Bottas est parti à la faute en quittant son emplacement d'arrêt au stand et s'est mis à l'équerre au beau milieu de la pitlane après avoir échoué à contrôler un survirage lié à du patinage. Le Finlandais n'a rien touché mais s'est arrêté à quelques mètres d'un groupe de mécaniciens McLaren qui était de sortie, qui l'ont d'ailleurs aidé à se remettre dans le sens de la marche.

Immédiatement, le manager de l'écurie de Woking, Paul James, a contacté la direction de course à la radio, estimant que cet incident était "absolument ridicule". Michael Masi lui a répondu en faisant part de son accord et peu après une enquête officielle a été lancée. Celle-ci a abouti sur une pénalité de trois places de recul sur la grille pour Bottas, pour "pilotage potentiellement dangereux".

Le Vice-Champion du monde 2019 et 2020, ainsi que le directeur exécutif de Mercedes Toto Wolff, se sont émus de la situation, estimant que la pénalité était "sévère" et reprochant aux écuries rivales d'avoir exagéré la gravité de l'incident. Réagissant à ces propos, Masi a indiqué que seul McLaren s'était plaint, tout en précisant que même si personne ne l'avait fait, il aurait tout de même notifié les faits aux commissaires.

"Pour être honnête, dans ce genre de situations, quand des incidents comme ça se produisent, nous allons immédiatement vers l'écran et mettons 'sous enquête', ou 'noté', qu'importe, pour dire à tout le monde dans la voie des stands ce qui se passe. Mais, honnêtement, au vu de l'incident, même si McLaren n'avait rien dit, j'aurais demandé aux commissaires d'enquêter."

Lire aussi :

La pénalité a fait reculer Bottas de la seconde à la cinquième position sur la grille, mais le pilote est parvenu à rallier l'arrivée sur le podium.

La diffusion des échanges radios entre les écuries et la direction de course est un nouvel élément qui a été introduit dans la réalisation TV mondiale à partir du Grand Prix d'Espagne, début mai. Masi a réfuté l'idée que ces communications puissent avoir une influence sur les commissaires, notamment dans le cas de Bottas, car les officiels n'y ont tout simplement pas accès.

"En fait, les commissaires n'entendent aucune de ces communications entre les équipes et moi. Et [ils] n'entendent pas le commentaire des courses non plus. Ils ne sont donc pas conscients de cet aspect des choses, d'une manière ou d'une autre."

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