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La FIA restreint l'éligibilité à la Super Licence Essais Libres

La Fédération Internationale de l'Automobile a durci les conditions dans lesquelles les pilotes peuvent obtenir une Super Licence Essais Libres afin de participer à une séance du vendredi lors d'un week-end de Grand Prix.

Alfonso Celis Jr., Sahara Force India VJM10

Alfonso Celis Jr., Sahara Force India VJM10

Sutton Motorsport Images

Sergey Sirotkin, Renault Sport F1 Team RS17
George Russell, Sahara Force India VJM10
Sean Gelael, Scuderia Toro Rosso STR12
Alfonso Celis Jr., Sahara Force India F1 VJM10 après son crash
Sean Gelael, Scuderia Toro Rosso STR12
George Russell, Sahara Force India VJM10
Sergey Sirotkin, Renault Sport F1 Team RS17

Auparavant, il suffisait de parcourir 300 km au volant d'une Formule 1 en l'espace de deux jours et de démontrer des connaissances sur la réglementation sportive, tant que la FIA n'y voyait pas d'inconvénient selon les résultats du pilote en question en monoplace.

Désormais, la première fois qu'un pilote demande une Super Licence Essais Libres (SLEL), il lui faudra soit avoir accumulé 25 points de Super Licence sur les trois années précédentes (40 points sont nécessaires pour être éligible à la Super Licence classique, qui permet de courir en Grand Prix), soit avoir participé à six épreuves du championnat de Formule 2 (GP2 Series non compris). La SLEL est valide jusqu'à la fin de l'année en cours.

Si ce même pilote demande une Super Licence Essais Libres la saison suivante, les prérequis sont les mêmes, ou presque : soit les 25 points de Super Licence, soit avoir participé à une campagne complète du championnat de Formule 2. Ce dernier point ne pose théoriquement pas problème si le pilote en question a conclu la campagne entamée auparavant.

Il est par ailleurs nécessaire, dans tous les cas, que le pilote ait au moins 18 ans et soit titulaire du permis de conduire.

Si l'on s'intéresse aux pilotes que l'on a aperçus en Essais Libres 1 en 2017, ces règles plus strictes ne poseraient pas de problème à Sergey Sirotkin (60 points de SL), George Russell (51 points de SL) ou Sean Gelael (aucun point de SL mais une saison complète en F2).

En revanche, Alfonso Celis Jr a désormais tout intérêt à rejoindre la Formule 2 pour 2018 s'il veut reprendre le volant en EL1, car les 10 points que lui procurent sa troisième place au championnat 2017 de Formule V8 3.5 ne sont pas suffisants.

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