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Course compliquée pour Gasly : "Difficile de vraiment être agressif"

Treizième du Grand Prix du Japon 2017 de F1, Pierre Gasly n'a pas vécu la plus facile des courses au volant d'une monoplace pas tout à fait à son goût.

Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12

Photo de: Sutton Motorsport Images

Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12 dépasse la voiture accidentée de Carlos Sainz Jr., Scuderia Toro Rosso STR12
Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12
Jolyon Palmer, Renault Sport F1 Team RS17, Pierre Gasly, Scuderia Toro Rosso STR12

Le Français a de nouveau rapidement été le seul représentant de la petite Scuderia en piste après l'abandon de Carlos Sainz dès le premier tour, mais il n'a pas pu entrer dans le top 10 en fin d'épreuve, la faute à une STR12 rétive et à des problèmes de blocages pneumatiques dans le dernier tiers de course.

"Ça n’a pas été une course facile", a reconnu le numéro 10 au micro de Canal+. "C’était difficile de vraiment être agressif. Je n’arrivais pas exactement à faire ce que je voulais dans la voiture. Mais on va essayer de s’améliorer car on veut plus."

Alors qu'il avait potentiellement le point de la dixième place en ligne de mire, des difficultés avec ses pneus tendres l'ont obligé à un dernier arrêt, seulement 17 tours après avoir chaussé son train de gommes jaunes, qui a mis fin à ses espoirs. "On essayait de pousser et je commençais à avoir beaucoup de blocages à l’avant et j’ai eu un gros plat à l’avant, avec des vibrations."

"Dans ces moments-là c’est difficile de doubler, on a tous le DRS. J’arrivais à me rapprocher dans le premier secteur mais ce n’était pas simple. Il y a encore des choses à analyser et on fera mieux pour les prochaines courses."

"À un moment, je gardais le rythme derrière les Haas mais dès que j’ai réduit l’écart, il était difficile de suivre Romain [Grosjean]", a-t-il déclaré par la suite. "Le second relais était OK, quand Massa a souffert, tout le monde était derrière [lui] et nous avions tous le DRS. Il était très difficile de doubler et j’ai aussi eu du mal au freinage, donc j’ai dû lutter pour conserver le DRS avec Romain.

Austin ? "On va voir"

Quand Motorsport.com lui demande s’il estime avoir prouvé qu’il méritait sa chance en F1 sur le long terme, il répond : "Je pense. […] Juger après deux courses est un peu inutile. En parlant avec Helmut, il est vraiment heureux de ce que je fais, ce qui est un bon point. […] Je sens que je dois vraiment travailler et je pourrais produire de meilleures performances."

"Mais je suis sûr que, globalement, avec mon expérience, le rythme est correct. Il y a de la place pour des progrès, mais je dois juste travailler dur avec l’équipe et, espérons, trouver de petites choses qui me feront me sentir à l’aise dans la voiture et trouver du rythme en plus."

Et justement, plane encore sur la prochaine épreuve, à Austin, le doute quant à la présence de Pierre Gasly chez Toro Rosso, alors que se profile également le même week-end la finale de la Super Formula, avec la double manche de Suzuka, qu'il abordera à un demi-point du leader du championnat.

"On va voir, pour le moment je n’ai pas eu le temps d’en parler. On verra, je pense que pour l’instant c’est ce qu’ils ont annoncé mais je dois encore avoir la confirmation de Franz [Tost, le directeur de Toro Rosso] et Helmut [Marko, le responsable de la filière Red Bull]."

En effet, le communiqué de presse publié à l'occasion de l'annonce du départ de Carlos Sainz chez Renault dès le GP des États-Unis précisait que Gasly et Daniil Kvyat seraient au volant à Austin.

Depuis, cependant, les dirigeants de Red Bull ont fait machine arrière, sans doute sous l'impulsion de Honda, qui équipe le Français dans le championnat nippon et qui sera le futur partenaire moteur de Toro Rosso, qui verrait d'un bon oeil que le Français défende ses chances et ses couleurs dans son championnat domestique.

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