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GP de France - La FFSA ravie que "la F1 revienne à la maison"

Après avoir retrouvé des pilotes et une écurie tricolores ces dernières années, la France va renouer avec son Grand Prix national. De quoi réjouir pleinement la FFSA.

Pascal Wehrlein, Mercedes AMG F1 W06 Hybrid avec des pneus Pirelli 2017

Photo de: Daimler AG

Le retour du GP de France en 2018

Le Grand Prix de France de Formule 1 fera son retour en 2018 sur le circuit du Paul Ricard. L'occasion de se plonger dans l'histoire de ce Grand Prix !

Christian Estrosi, Président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur s'exprime
Nicolas Deschaux, Président de la FFSA
Pascal Wehrlein, Mercedes AMG F1 W06 Hybrid avec des pneus Pirelli 2017
Vue aérienne du Circuit Paul Ricard
Nigel Mansell, Ferrari 641 leads Gerhard Berger, McLaren MP4/5B Honda, Ayrton Senna, McLaren MP4/5B Honda, Alessandro Nannini, Benetton B190 Ford, Alain Prost, Ferrari 641, Riccardo Patrese, Williams FW13B Renault and Ivan Capelli, Leyton House CG901 Judd
Les habillages de la conférence de presse du Grand Prix de France
Vue aérienne du Circuit Paul Ricard
Les habillages de la conférence de presse du Grand Prix de France
Paul Ricard
Pascal Wehrlein, Mercedes AMG F1 W06 Hybrid avec des pneus Pirelli 2017
Coucher de soleil sur le Paul Ricard
Circuit Paul Ricard
Pascal Wehrlein, Mercedes AMG F1 W06 Hybrid avec des pneus Pirelli 2017

L'annonce, lundi, du retour du Grand Prix de France à partir de 2018, fait évidemment le bonheur d'une Fédération Française du Sport Automobile qui a été associée au projet relancé par la région PACA. Dès l'an prochain, après dix années d'absence, l'épreuve fera son retour au calendrier de la Formule 1, sur le circuit Paul Ricard.

"Je suis très heureux et très fier d'être associé à cette reconquête d'un Grand Prix de France de Formule 1", se réjouit Nicolas Deschaux, président de la FFSA, au micro de Motorsport.com. "C'est une très grande nouvelle pour la fédération, puisqu'après avoir vécu un peu la reconquête de nos pilotes au plus haut niveau - ça avait été une priorité de ma politique, d'avoir des pilotes au plus haut niveau -, après avoir observé le retour de Renault en tant qu'écurie, ça fait du bien que la F1 revienne à la maison. On l'attendait, on avait travaillé depuis de nombreuses années, et aujourd'hui on se félicite que, porté par la Région, porté par le Président Christian Estrosi, porté par le volontarisme financier, ce Grand Prix puisse de nouveau s'inscrire dans la pérennité au Paul Ricard."

"Vous savez, le Paul Ricard, c'est 14 éditions du Grand Prix de France. Ça avait commencé en 1971. Ça fait partie du patrimoine des circuits qui ont accueilli la F1. Il y a une vraie résonnance, avec des grandes heures du sport automobile français, des noms comme Alain Prost. Le circuit, au-delà du fait qu'il est aujourd'hui parfaitement au standard de la Formule 1, et même dans des standards très élevés, il s'inscrit aussi dans le patrimoine sportif français des circuits qui ont accueilli la Formule 1 à une très belle époque du sport automobile."

Quatre épreuves avec une grande notoriété

Pour la Fédération, le Grand Prix de France était la pièce manquante à un puzzle prestigieux, qui regroupera quatre épreuves de renommée internationale dans l'Hexagone à l'avenir. Une petite revanche, aussi, dans une société où l'automobile a pu parfois passer au second plan alors que les Français restent de fervents passionnés de sport auto. 

"Je pense que le sport automobile a un véritable ancrage en France, un véritable ancrage populaire", insiste Nicolas Deschaux. "Aujourd'hui, le territoire français accueille les 24 Heures du Mans, la manche du Championnat du monde des Rallyes - le Tour de Corse -, la Formule E à Paris, et accueillera à partir de 2018 de nouveau un Grand Prix au Paul Ricard. Il y a très peu de pays au monde qui peuvent s'enorgueillir d'avoir sur leur territoire quatre épreuves comme ça, d'une telle notoriété. Ces épreuves, elles sont là parce qu'elles correspondent à une appétence de la population française et du territoire français."

"Le sport automobile se porte bien, nous avons aujourd'hui 60'000 licenciés, nous avons des épreuves qui se maintiennent. Après, le regard qu'il peut y avoir par moment, déformé, de tel ou tel média, sur notre sport automobile, ne correspond pas forcément à l'appétence des Français pour le sport automobile."

Rendez-vous est donc pris pour la saison prochaine, et le président de la FFSA espère que le public répondra présent : "Je leur donne rendez-vous pour soutenir les pilotes français. Aujourd'hui on en a deux, Romain [Grosjean] et Esteban [Ocon], j'espère qu'on en aura plus en 2018. La priorité est d'abord de les soutenir parce que je pense que les pilotes français auront à cœur, plus qu'ailleurs, de briller lors de ce Grand Prix de France."

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