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La Formule 1 veut un Grand Prix en Afrique

La Formule 1 compte faire son retour en Afrique, projet qui pourrait se concrétiser au Maroc ou en Afrique du Sud.

Riccardo Patrese, Arrows FA1 Ford , devant Niki Lauda, Brabham BT46 Alfa Romeo, et Patrick Depailler, Tyrrell 008 Ford

Riccardo Patrese, Arrows FA1 Ford , devant Niki Lauda, Brabham BT46 Alfa Romeo, et Patrick Depailler, Tyrrell 008 Ford

LAT Images

Voilà déjà 26 ans que la dernière course de Formule 1 sur le continent africain a eu lieu, à Kyalami (Afrique du Sud). Un tracé emblématique qui a accueilli la catégorie reine du sport automobile à 20 reprises entre 1967 et 1993, et où le poleman ne s'est imposé qu'une fois lors des 17 premières éditions ! C'était Jim Clark en 1968.

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À en croire Sean Bratches, manager commercial de la Formule 1, cette dernière pourrait bien faire son retour à Kyalami à l'avenir, tandis qu'une autre option serait le Maroc, qui a organisé deux Grands Prix à Casablanca à la fin des années 1950, dont un hors championnat. Cette fois, c'est le Circuit Moulay El Hassan de Marrakech qui serait candidat, piste semi-permanente de trois kilomètres qui accueille le WTCC/WTCR depuis 2009 et la Formule E depuis 2016 – mais cet E-Prix est justement menacé en vue de la saison 2019-20 du championnat tout électrique.

"Nous courons sur cinq continents, et le dernier continent habitable où nous ne courons pas, c'est l'Afrique", déclare Bratches, qui compte concrétiser ce projet à "court terme". "Nous avons eu des discussions très productives en Afrique du Sud, et dans une moindre mesure au Maroc, quant à l'organisation d'un Grand Prix. Nous y avons couru par le passé. On m'a dit qu'en raison de considérations politiques historiques, cela avait cessé. Nous nous en occupons, c'est vraiment important à nos yeux."

Andre Lotterer, DS TECHEETAH, DS E-Tense FE19

La Formule E à Marrakech

Évoquant la perspective d'une course dans un de ces deux pays, il poursuit auprès de Reuters : "C'est un marché où nous aimerions courir. Nous sommes un sport mondial. Il y a un circuit historique en Afrique du Sud, Kyalami. Toby Venter, qui détient les concessions Porsche sud-africaines, en a fait l'acquisition et l'a pleinement rénové – les garages, le paddock."

"De manière similaire à d'autres marchés à travers le monde, nous avons été approchés de façon proactive par d'autres candidats tels que le Maroc, Marrakech. Il y un circuit là-bas aussi. Son statut m'est un peu moins familier, je présume que ce n'est pas un circuit de Grade 1, mais ils sont très intéressés."

Septembre 2016 :

Quoi qu'il en soit, il faudra selon Bratches compter sur l'appui financier des nations concernées pour rendre de tels projets viables : "Où que l'on aille, [la F1] est un moteur économique pour ces pays, ces États, ces villes, ces principautés, ces municipalités. La grande majorité de nos Grands Prix sont soutenus par le gouvernement, et c'est parce que ça marche. Nous mettons ces villes en lumière avec un grand impact économique direct."

Propos recueillis par Adam Cooper

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