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Grosjean a pris le volant d'une Renault de 1983 à Silverstone

Renault a fait revivre l’histoire hier sur le circuit de Silverstone

Renault a fait revivre l’histoire hier sur le circuit de Silverstone. 25 ans après la dernière apparition d’un moteur turbo en Formule 1, le motoriste français a fêté cette technologie qui a fait son retour cette année dans la catégorie reine avec les unités de puissance V6 turbo hybrides. Dans le même temps, le Grand Prix de Grande-Bretagne célèbrera sa cinquantième édition en juillet prochain.

Le temps d’une journée, Renault a réuni sur le légendaire tracé britannique quelques-unes des monoplaces qui ont marqué son histoire : la RS01 de 1977, la RE40 de 1983 et la Lotus 98T de 1986. La Renault RS01, est la première voiture équipée d’un moteur turbo à avoir couru en Formule Un. Elle a effectué ses grands débuts lors du Grand Prix de Grande Bretagne 1977 aux mains de Jean-Pierre Jabouille.

Côté piste, l’attraction s’est tournée vers Romain Grosjean, présent pour les besoins d’un tournage. A cette occasion, le Français a pris le volant de la RE40 avec laquelle Alain Prost avait également remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne en 1983 et terminé deuxième du Championnat du Monde.

« Par endroits, j’ai ressenti la même chose qu’à bord d’une Formule Un moderne, tandis qu’à d’autres moments les sensations n’étaient pas du tout les mêmes », raconte Grosjean.

« La principale différence réside dans la position de conduite : vous avez pleinement conscience d’être assis sur le train avant. Bien sûr, la souplesse du moteur diffère également beaucoup. Vous avez l’impression qu’il ne délivre aucune puissance quand tout à coup elle se fait sentir et vous procure de sacrées émotions ! La boîte de vitesses se manie également différemment et demande un certain temps d’adaptation. Le freinage, l’appui aérodynamique, la voiture qui glisse et part dans la direction qui lui plaît, tout cela vous le ressentez au volant. L’expérience reste néanmoins remarquable et j’aurais vraiment aimé couvrir plus de tours. »

Le pilote Lotus a pu juger ce qui sépare la première génération de turbo en F1 de celle qui est désormais exploitée : « Entre les anciens moteurs turbo et ceux de cette année, c’est le jour et la nuit. En comparaison, la technologie dont nous disposons actuellement rend notre génération de moteurs bien plus facile à exploiter. »

Les voitures turbo Renault étaient également accompagnées par deux châssis vainqueurs du Grand Prix de Grande Bretagne : la Williams FW14B pilotée par Nigel Mansell en 1992 et la Williams FW18 avec laquelle triompha Damon Hill en 1996.

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