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Grosjean - "En tant que leader, j'aurais dû pouvoir aider plus l'équipe"

Au moment d’aborder le Grand Prix du Brésil, Romain Grosjean se montre frustré par l’inconstance de la Haas VF-16 et son impossibilité de véritablement peser sur le comportement de sa monoplace.

Romain Grosjean, Haas F1 Team

Photo de: XPB Images

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Romain Grosjean, Haas F1 Team
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Romain Grosjean, Haas F1 Team
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16

Après des qualifications très bonnes à Suzuka, où les deux pilotes de la structure américaine ont atteint la Q3, sans pouvoir le concrétiser en course toutefois, le rythme de la VF-16 s’est délité lors des deux Grands Prix suivants, à Austin puis à Mexico.

Cette feuille des performances en dents de scie à de quoi frustrer Romain Grosjean, à ce jour unique pourvoyeur des points de Haas, qui se remet lui-même en cause quand on lui demande les raisons de ces écarts de compétitivité. "Ça peut être les caractéristiques du circuit, le tracé, l’asphalte, la façon dont les pneus fonctionnent. Nous analysons toutes les choses qui nous sont arrivées lors des dernières courses."

"Nous sommes passés d’une grande performance [à Suzuka] au fait d’être nulle part en qualifications mais OK en course [à Austin], jusqu’à la dernière course [à Mexico] où nous n’avons rien pu faire de bien, que ce soit du point de vue de l'ingénierie ou du pilotage. En tant que leader, j’aurais dû pouvoir aider plus l’équipe et trouver une solution, mais ça n’a pas été le cas. Nous voulons faire mieux, et nous pouvons faire mieux."

Et, justement, pointe à l'horizon la prochaine épreuve de la saison, au Brésil, pour essayer de se refaire. Un tracé qui pourrait avoir évolué et notamment au niveau de sa surface posée il y a deux ans. "Nous nous attendions à ce que Mexico ait beaucoup changé d’une année à l’autre, mais ça n’a pas été le cas. Le Brésil est resté très constant entre 2014 et 2015."

"Ils ont changé les vibreurs en 2015, ce qui était un peu dommage, surtout à Interlagos où vous avez ces vibreurs énormes verts et blancs. Vous les utilisiez vraiment beaucoup avec la voiture et ce n’est plus le cas. Ça enlève un peu de l’esprit de la piste mais, malgré tout, c’est un super circuit."

"C’est un circuit très difficile mais avec peu d’opportunités pour se reposer. Même dans les lignes droites, vous ne pouvez pas vous reposer autant que vous le souhaitez. Vous êtes aussi en altitude, à 800 mètres, donc après Mexico c’est rien, mais vous n’êtes quand même pas au niveau de la mer."

"La météo peut être difficile. Elle peut être très chaude et humide. C’est un défi très intense mais, au final, c’est ce que nous recherchons."

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