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Grosjean - Haas a les moyens de construire ses propres F1

À l’aube de sa seconde saison avec l’écurie Haas, Romain Grosjean revient sur le fonctionnement de l’écurie américaine, basé sur la collaboration avec d’autres entreprises, telles que Ferrari.

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16

Photo de: XPB Images

Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Valtteri Bottas, Williams FW38, devant Jenson Button, McLaren MP4-31 et Romain Grosjean, Haas VF-16, au départ
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16 et Nico Hulkenberg, Sahara Force India F1 VJM09
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-16
Romain Grosjean, Haas F1 Team
Romain Grosjean, Haas F1 Team
Romain Grosjean, Haas F1 Team retourne dans les stands après son crash au moment de rejoindre la grille

En 2016, Haas F1 Team a inscrit 29 points. Un total relativement peu élevé mais ô combien important quand il est question d’une structure nouvelle et sans grande expérience de la course en Formule 1.

Sans grande expérience de la F1, certes, mais avec une approche particulièrement réfléchie : en effet, Gene Haas a rapidement - bien avant son arrivée officielle en discipline reine - conclu des accords techniques avec Dallara (pour le châssis) et Ferrari (pour la fourniture de pièces), lui offrant une véritable sécurité sur le plan matériel, à défaut de réellement concevoir et bâtir une monoplace estampillée Haas.

Qu’importe cependant, car le règlement le permet et les résultats ont été au rendez-vous, bien que, en dépit d’une monoplace qui semblait en certaines occasions capable de faire bien plus, l’inexpérience de l’équipe se soit parfois fait ressentir, notamment dans la compréhension des problèmes et l’optimisation des réglages pour parvenir à capitaliser plus encore sur la VF-16.

Toujours est-il qu’à l’heure actuelle, c’est bien le même modèle de fonctionnement qui va être reconduit pour 2017, même si Romain Grosjean sait que son employeur est tout à fait en capacité de construire sa propre F1.

"Pour l’instant, nous faisons le modèle que nous faisons", explique-t-il pour Autosport. "De quoi le futur sera fait, je ne sais pas. Nous avons une usine prête à Kannapolis, il y a une usine entière prête pour une équipe de Formule 1 et pour construire une voiture."

"S’il faut tout développer nous-même, on ne peut pas le faire la première année, les voitures sont tellement complexes et c’est juste tellement difficile. Si nous réussissions à être juste derrière Ferrari, ça [serait] assez bon, je serais heureux de cela."

Justement, le partenariat avec Maranello est aussi un motif de satisfaction pour le Français. "C’est une super expérience de travailler avec Ferrari et il fallait que je connaisse les ingénieurs et le système."

"Nous utilisons une grande partie de leurs pièces et il est intéressant de voir ce sur quoi ils travaillent et comment je peux aider à mon niveau, la façon dont ils fonctionnent, avec l’expérience que j’ai."

"Nous sommes très heureux et nous n’aurions pas pu être où nous sommes, avec ces points, sans leur aide."

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