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L'idée d'une Q4 en qualifications ne plaît pas à Grosjean et Vettel

La possibilité d'ajouter une quatrième partie aux qualifications ne semble pas convaincre les pilotes.

Les mécaniciens se préparent à lancer Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18, vers la grille

Les mécaniciens se préparent à lancer Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18, vers la grille

Andy Hone / Motorsport Images

Romain Grosjean, Haas F1 Team, sur la grille
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18
Sebastian Vettel, Ferrari SF71H
Romain Grosjean, Haas F1 Team VF-18, devant Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB14
Gunther Steiner, directeur, Haas F1 en conférence de presse
Sebastian Vettel, Ferrari pushes his car back in the pit lane
Sebastian Vettel, Ferrari SF71H, devant Kimi Raikkonen, Ferrari SF71H, et Kevin Magnussen, Haas F1 Team VF-18
Sebastian Vettel, Ferrari pushes his car back in the pit lane
Sebastian Vettel, Ferrari SF71H
Sebastian Vettel, Ferrari

Discuté par le Groupe Stratégique et évoqué une première fois par Charlie Whiting en marge du Grand Prix de Russie, le possible nouveau format de qualifications n'est pas forcément bien reçu dans le paddock. L'idée d'ajouter une Q4 qui mettrait aux prises les huit plus rapides ne fait pas recette.

Les arguments qui ont fait naître cette idée peinent visiblement à convaincre les principaux intéressés, puisque l'une des idées est de limiter le handicap généré pour les équipes de milieu de grille qui se retrouvent qualifiées pour la dernière partie des qualifications avec le "mauvais" train de pneus, quand les top teams peuvent tenter le coup en Q2 avec un pneu plus dur qui sera utilisé au départ du Grand Prix.

Avec le nouveau format actuellement étudié, ce cas de figure se présenterait toutefois encore pour le septième et le huitième, si on exclut donc de fait de l'équation les six premières places régulièrement trustées par les trois équipes de pointe.

"Je ne crois pas que ce soit une solution", prévient Romain Grosjean. "Ce sera un désavantage d'être la première équipe du milieu de grille, septième et huitième, et ça ne changera rien pour les grosses équipes, car elles se qualifient quoi qu'il se passe. Quand ils font un tour lent, ils sont deux secondes au tour plus rapide, donc ils se qualifient quand même. Ça rend donc les choses plus compliquées qu'elles ne devraient l'être en essayant de résoudre un problème qui n'est pas celui que nous rencontrons."

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Le point de vue du pilote français est clairement partagé par son patron Günther Steiner, qui pointe lui aussi le désavantage qu'il pourrait y avoir à se retrouver sur la quatrième ligne de la grille de départ. Le directeur de Haas F1 rappelle toutefois que rien n'est décidé pour le moment : "Nous devons être justes, nous ne pouvons pas critiquer quelque chose qui n'a pas été approuvé. Habituellement tout [profite aux grosses équipes]. Peu importe ce que nous discutons, ça va généralement dans cette direction. De toute manière, il y aura davantage de dialogue avant ce que ce soit décidé."

Vettel, vieille école

Interrogé sur la perspective de devoir participer à quatre sessions pendant les qualifications, Sebastian Vettel a joué la carte de l'ironie, avant de faire clairement comprendre qu'il n'était pas non plus convaincu par la dernière proposition en date.

"Je me demande de quoi nous discuterons dans dix ans, si ce sera d'avoir une Q9 et une Q10, si ça a du sens", s'amuse le pilote Ferrari. "Je ne sais pas, peut-être qu'il en faudrait moins. Sans entrer dans le détail, mon point de vue est qu'aujourd'hui, nous avons besoin de trop de spectacle pour être satisfaits. Je pense que ce serait bien d'aller vers moins [de sessions]." 

"Mon format de qualifications préféré, c'est quand il y avait une heure et que l'on pouvait faire ce que l'on voulait. Bien sûr, pour certains, les qualifications ne seront jamais aussi excitantes que la course, mais pour d'autres c'est l'inverse, donc ça dépend des goûts. Mais je pense qu'il s'agit de faire le tour parfait, et peu importe le nombre de sessions qu'il y a. Aujourd'hui nous en avons trois, et celle que les gens regardent, c'est la dernière. Alors qu'est-ce que cela changera s'il y a une Q4, Q5, Q6 ou Q7 ?"

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