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Haas - Il y a beaucoup de pièges en Formule 1

Haas F1 travaille d'arrache-pied pour faire son entrée dans la catégorie reine en 2016

Haas F1 travaille d'arrache-pied pour faire son entrée dans la catégorie reine en 2016. Si l'échéance peut paraître encore lointaine, elle nécessite un investissement de tous les instants pour le projet américain, qui a préféré ne pas prendre le risque d'une arrivée précipitée dès 2015.

Gene Haas a déjà largement expliqué les contours de sa future écurie, ainsi que la manière dont elle fonctionnera, avec

une base divisée entre les Etats-Unis et l'Angleterre

. Cette nouvelle écurie pose également ses fondations dans un contexte où les deux dernières équipes à avoir fait leur entrée en F1 – Marussia et Caterham en 2010 – sont en passe de mettre définitivement la clé sous la porte. Haas l'a suffisamment répété, il s'agit de tirer les leçons de ces expériences pour ne pas commettre les mêmes erreurs.

"Il y a beaucoup de pièges en Formule 1", reconnait-il dans les colonnes de Sports Business Daily. "Nous avons vu que beaucoup d'équipes ont beaucoup de problèmes. Il y a des questions d'argent. Il y a beaucoup de rancœur dans les effectifs, à ce que nous avons entendu. Je vois cela comme un challenge. Je suis allé sur certaines courses de Formule 1, j'ai rencontré les gens. Je les aime, ce sont de bonnes personnes."

Gene Haas l'avoue, concevoir une monoplace qui soit au niveau est une tâche qui peut être "accablante" et qui est surtout décisive. "Si vous le faites mal, c'est un désastre", prévient-il. L'Américain est conscient que le fait de se présenter sur la grille 2016 avec un retard de performance considérable serait par la suite très difficile à combler.

En amont, Haas a déjà posé les bases d'un partenariat étroit avec Ferrari, qui fournira les moteurs, tandis que Haas Automation travaille pour la Scuderia. Mais depuis la négociation de ces accords, les têtes sont tombées à Maranello, et les interlocuteurs ne sont plus les mêmes.

"Il y a beaucoup de pression sur Ferrari", rappelle Haas. "Ferrai est évidemment un constructeur, et la Formule 1 et la série pour promouvoir leur marque. Ils veulent gagner. Ils ont juste beaucoup de pression, je dois respecter cela."

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