Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse
Actualités

Häkkinen : Quand j'ai débuté en F1, il y avait 3 moteurs par GP

Mika Häkkinen revient sur le Grand Prix d'Australie 2018 de F1 en évoquant la question des modes moteur et se souvient de son époque, où les blocs propulseurs se multipliaient lors des week-ends de course.

Mika Hakkinen, McLaren Peugeot

Mika Hakkinen, McLaren Peugeot

Sutton Motorsport Images

Mika Hakkinen
Mika Hakkinen et Sergio Perez, Force India
Mika Hakkinen, McLaren Mercedes
Mika Hakkinen, McLaren est ramené par David Coulthard, McLaren
Mika Hakkinen, Lotus, Johnny Herbert, Lotus 107
Gerhard Berger, Ferrari 412 T2, Mika Hakkinen, McLaren
Mika Hakkinen, McLaren MP4/13
Mika Hakkinen fête sa pole position
Mika Hakkinen, McLaren MP4/13
Mika Hakkinen, McLaren MP4/13, David Coulthard, McLaren MP4/13
Jacques Villeneuve, Williams Renault, Damon Hill, Arrows A18 Yamaha, Mika Hakkinen, McLaren MP4/12 Mercedes et Eddie Irvine, Ferrari F310B
Podium : le vainqueur Mika Hakkinen, le deuxième, Michael Schumacher, le troisième, Ralf Schumacher
Mika Hakkinen,McLaren MP4/14 Mercedes-Benz, fête la victoire à l'arrivée

Les premières limitations concernant le nombre de moteurs alloués remontent à la saison 2004, lors de laquelle les écuries ont été limitées à un moteur par week-end de Grand Prix. Mais avant cela, l'utilisation de blocs n'était pas encadrée et les écuries pouvaient en monter autant que nécessaire sans risquer la moindre pénalité.

Mika Häkkinen a bien connu cette époque, lui qui a couru en Formule 1 entre 1991 et 2001, avec deux titres à la clé en 1998 et 1999. Et, à la lumière du Grand Prix d'Australie 2018 et des nouvelles règles qui imposent l'utilisation de trois éléments moteurs (voire deux dans certains cas) pour 21 Grands Prix, il se souvient de courses où les écuries changeaient de moteurs comme de chemises.

"Cinq voitures – un quart du peloton – n’ont pas terminé la course, ce qui est surprenant de nos jours, mais aussi une indication de deux choses : c’est la première course de la saison et ça montre à quel point les équipes sont sur le fil du rasoir", a-t-il expliqué pour Unibet.

"Cette année, chaque pilote ne peut monter que trois moteurs pour les 21 courses de la saison, ce qui est un défi incroyable pour les ingénieurs et les pilotes. Quand j’ai débuté en Formule 1, il était commun de remplacer le moteur après les essais libres et à nouveau avant la course."

"Désormais, vous ne changez pas le moteur, vous appuyez juste sur un bouton pour modifier la performance du moteur. Les équipes et les pilotes doivent réfléchir à l’économie du moteur en permanence pendant la course, donc même quand vous voulez aller à fond, il y a une décision à prendre concernant la protection du moteur. On peut être sûr qu’il va s’agir d’un point important de la saison 2018 de Formule 1, avec des implications plus tard dans l’année pour quiconque n’aura plus de moteurs et commencera à prendre des pénalités."

L'Australie, "pas un échec de Mercedes"

Revenant plus précisément sur le déroulé de la course australienne, il salue la performance de Mercedes et Lewis Hamilton en qualifications, tout en ne les accablant pas concernant la course, où Sebastian Vettel s'est imposé grâce à l'intervention dans le bon timing de la VSC.

"Après les essais de pré-saison, j’étais personnellement très confiant sur le fait que Mercedes dominerait à nouveau la Formule 1, mais quand même, j’ai été stupéfait de voir l’incroyable performance que Lewis Hamilton et l’équipe ont produit en qualifications. Dans un autre monde."

"La course, cependant, a été une autre histoire parce qu’elle n’a pas du tout été tranquille pour Mercedes. La victoire de Sebastian Vettel est liée à la très bonne capacité de réaction de Ferrari par rapport à ce qui s’est passé lors de la période de Virtual Safety Car, et leur stratégie a parfaitement fonctionné pour lui, même si ça n’a pas été aussi bien pour Kimi Räikkönen."

"Personnellement, je ne vois pas ce résultat comme un échec du côté de Mercedes. Quand vous menez une course, vous vous trouvez souvent en premier dans n’importe quelle situation, et ça donne en fait aux gens derrière un petit peu plus de temps pour trouver quoi faire. Ferrari a tiré le maximum de la VSC, et je ne dirais pas que c’est de la faute de Mercedes si cette situation a joué contre eux."

Bottas "va se relever"

Malgré tout, tout n'a pas été parfait du côté de l'écurie à l'Étoile et notamment du côté de la monoplace 77. En effet, après un accident en qualifications, Valtteri Bottas a terminé au huitième rang. Häkkinen, qui fait partie de l'équipe managériale du Finlandais, estime que son poulain reviendra "plus fort".

"Valtteri Bottas va se relever de l’erreur qui a causé son accident en qualifications et fait qu’il est parti loin sur la grille. L’accident s’est produit dans un virage où vous êtes à la limite, avec un mur qui vous attend à l’extérieur, donc il faut une bonne adhérence et une sortie parfaite afin de se préparer pour une période de longue accélération. Valtteri était hors trajectoire, suffisamment pour perdre tout le grip à l’arrière, mais il reviendra plus fort. Il a connu de bons essais de pré-saison, il est mentalement fort et il sait ce qu’il a à faire."

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent Dallara a élevé son niveau pour faire progresser Haas
Article suivant Renault prêt pour "un combat très disputé et serré"

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse